Publié il y a 10 ans - Mise à jour le 18.10.2013  - 1 min  - vu 176 fois

ALÈS L'affaire des "morpions de la misère" voit le maire finalement condamné pour injure.

Max Roustan, est finalement condamné pour injure avec des amendes légères. DR/OG

Max Roustan, est finalement condamné pour injure avec des amendes légères. DR/OG

Il y a un a un peu plus d'un an, en  mai 2012, le tribunal de grande instance (T.G.I.) d’Alès, avait prononcé la nullité dans  l’affaire qui opposait le député-maire Max Roustan au secrétaire de l’Union Locale CGT d’Alès, Fabrice Durand, qui avait porté plainte suite à des insultes proférées en public à son encontre, par l’édile, le 19 novembre 2010, lors de l’inauguration d’une pépinière d’entreprises (voir le début de l'affaire).

Le syndicaliste avait aussitôt fait appel. Un nouvel épisode de l’affaire a donc eu lieu en avril ou, contre toute attente il n’a y pas eu d’arrêt du tribunal. Le dossier à été tout au contraire réouvert et rejugé le 10 septembre dernier. La sentence est tombée ce matin : le maire a été condamné pour injure,  à 500€  d'amende envers le syndicat  CGT et à  250€ envers les deux plaignants  Durand et Sébastien Migliore, représentants du syndicat alésien.

Interrogé, le maire d'Alès se dit d'abord étonné : "Ce n'est pas pour le terme de "Morpions de la misère" que j'ai dit au micro mais qui n'est finalement pas injurieux que j'ai été condamné mais pour le terme "con" employé hors micro. De toute les façons j'ai l'intention de me pourvoir une nouvelle fois en cassation" commente-t-il.

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