Publié il y a 10 ans - Mise à jour le 18.12.2013  - 2 min  - vu 273 fois

MARCOULE La mobilisation se poursuit pour sauver les emplois du SBTN

Marcoule. Un mois de sursis avant la prise de décision pour le SBTN Ph DR/RM

Marcoule. Un mois de sursis avant la prise de décision pour le SBTN Ph DR/RM

La mobilisation se poursuit pour éviter la suppression  des quelques 70 emplois, annoncée avec la programmation de la fermeture du Service de Biochimie et de Toxicologie Nucléaire (SBTN)  à la Direction des Sciences du Vivant (DSV) par le CEA (voir notre article). Ce service  emploie  53 salariés au titre du CEA, auxquels s'ajoutent une vingtaine de salariés précaires (CDD, thésards, post docs, stagiaires), deux salariés Bertin, un salarié CNRS, deux salariés Onet et de nombreux emplois induits. Il regroupe des compétences scientifiques et techniques très pointues et entretien des liens internationaux et régionaux avec les Universités, les hôpitaux, le parc Marcel Boiteux, Cis BioAssays, Cézanne, etc... Dans sa lettre du 27 novembre dernier adressée au Président de la République le député Patrice Prat (voir ici) rappelait que dans la conjoncture actuelle, la décision de fermeture de cette unité avait valeur de symbole. En effet, nos projets de reconversion de ce territoire reposent sur l’idée que nous devons favoriser la recherche et l’innovation sur notre bassin industriel. En supprimant ces 75 postes, on accentue donc le décrochage de cette région industrielle”. Ce mardi, les syndicats avaient rendez vous avec Jean Christophe Rey à la Maison de la région a Bagnols. A l'heure en effet où la Région investit dans le Parc Marcel Boiteux avec un pôle de recherche sur les sciences du vivant, la suppression du SBTN agirait comme une contre performance pour tout le secteur. Autre information tombée dans la soirée, le CE qui se tenait ce mardi a décidé de remettre la date de décision de fermeture  du SBTN au prochain conseil prévu le 4 février 2014.

Actualités

Voir Plus

A la une

Voir Plus

En direct

Voir Plus

Studio