Publié il y a 5 ans - Mise à jour le 21.02.2019 - philippe-gavillet-de-peney - 2 min  - vu 553 fois

NÎMES Les plaideurs universitaires en cour d'assises

La finale du 5e concours d'éloquence de l'université se déroulera le 22 février prochain à la cour d'assises du palais de justice de Nîmes.
Les universitaires iront plaider publiquement à la cour d'assises (Photo : DR/Université de Nîmes)

Pour la cinquième année consécutive, l’association Droit de l’université de Nîmes organise son Concours d’éloquence dont la finale, ouverte au public, se tiendra le vendredi 22 février, de 9h à 12h, à la cour d’assises du palais de justice de Nîmes. À la clé pour le vainqueur : une participation pour la finale nationale du concours Lysias, programmée à Paris fin mars.

Ouvert à tous les étudiants de l’université de Nîmes, le principe du concours est simple : chaque participant se voit attribuer un sujet unique et dispose d’une semaine pour affûter ses arguments avant de les présenter dans le temps imparti de 10 minutes.

21 étudiants ont participé aux phases de qualification autour de sujets inspirés de citations d’auteurs : « Celui qui ouvre une porte d'école, ferme une prison » de Victor Hugo, « Il est hélas devenu évident aujourd'hui que notre technologie a dépassé notre humanité » d'Albert Einstein ou encore « L'humour a toujours été contre le pouvoir, quel que soit le régime » de Coluche.

Six finalistes en lice

Six étudiants en droit se sont démarqués par leur éloquence et s’affronteront lors de la finale devant

le public et un jury prestigieux composé de maîtres Gutierrez et Bessodes, avocats au barreau de la cour d'appel de Nîmes, madame Léger, secrétaire générale de la première présidence de la cour d'appel de Nîmes.

Les finalistes ont chacun tiré au sort un sujet parmi ceux-là : A-t-on tous la même vision du monde ? Est-il possible de changer une personne ? Le mal existe-il vraiment ? Sommes-nous tous égoïstes ? Les Français enferment quelques fous dans une maison pour persuader que ceux qui sont

dehors ne le sont pas, Est-il préférable de sauver un coupable ou d'enfermer un innocent ? Entrée libre et gratuite.

Philippe Gavillet de Peney

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