Publié il y a 2 ans - Mise à jour le 15.05.2022 - anthony-maurin - 2 min  - vu 990 fois

NÎMES Tetal, comme un poisson dans l'eau au collège Jean-Rostand

Une fresque de Tetal faite au collège Jean Rostand Nîmes (Photo Association Da Storm).

Le 20 mai prochain, à 16h au collège Jean-Rostand à Nîmes, un projet spécial sera mené dans le cadre des résidences d’artiste au collège du département du Gard via l'association Da Storm.

Pendant près de deux mois, l’artiste Tetal a investi le collège Jean-Rostand pour un travail de résidence autour du graffiti. Ce dernier s’est partagé entre des ateliers d’initiation à la pratique de cette discipline à destination d’une classe de 6ème et d’une classe Ulis, et des temps de travail que l’artiste a consacré à la réalisation de fresques dans l’enceinte de l’établissement.

La résidence a été conçue comme un laboratoire de recherche et d’échange entre l’artiste et le collège dans le but de susciter, par des apports mutuels au sein de l’établissement, une meilleure connaissance et compréhension des arts visuels auprès de la communauté scolaire.

(Photo Association Da Storm).

Passionné de peinture depuis le plus jeune âge, Tetal s’est essayé à divers médiums avant de se diriger vers une peinture grand format qu’il travaille le plus généralement sur mur ou sur toile, à l’aide notamment du dessin digital qu’il exploite depuis désormais trois ans. C’est par le biais de ces disciplines artistiques que Tetal envisage les rencontres et les voyages qui ont rythmé son parcours sur ces six dernières années. Ce sont en effet ces nombreux voyages (Europe de l’Est, Népal, Indonésie, Vietnam, Gabon, Australie...) qui inspirent ses œuvres et lui permettent de collaborer avec des artistes internationaux.

Son travail personnel tourne surtout autour de l’onirisme, l’étude du rêve et de l’imagination. Visuellement, ses sujets de peintures actuels sont axés autour du landscape et du portrait, de scènes peintes et parfois abstraites. Les sujets sont variés mais cherche constamment à emmener le public dans une histoire au travers d’une expérience visuelle.

(Photo Association Da Storm).

Anthony Maurin

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