Publié il y a 8 jours - Mise à jour le 08.03.2025 - De Sochaux, Corentin Corger - 2 min  - vu 2081 fois

TEMPS ADDITIONNEL Sochaux - Nîmes Olympique vu à la loupe

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Abdeldjelil et les Nîmois peuvent nourrir quelques regrets 

- Photo Anthony Maurin

Chaque lendemain de match de Nîmes Olympique, Objectif Gard vous propose de revenir sur la rencontre passée. Zoom sur ce qu'il faut retenir après le match nul 1-1 à Sochaux. 

L'analyse : 

À quatre minutes près, Nîmes tenait enfin cette première victoire à l'extérieur tant espérée ! Mais le destin veut que l'attente soit encore longue. Bousculés en première période où ils ont beaucoup subi, les Nîmois sont revenus plus agressifs au retour des vestiaires et enfin libérés. Jusqu'à surprendre Sochaux, qui avait la possession du ballon, avec un centre de Sbaï et un but d'Abdeldjelil, son 12e cette saison, à l'heure de jeu. Et malgré les assauts adverses, on sentait les Nîmois capables de résister jusqu'au bout. Abdeldjelil ratait la balle de break, mais Ngapandouetnbu tenait bon. Il a fini par craquer sur un tir légèrement contré de Diouf à la 86e. Derrière, Malouda, Mexique et Paviot manquaient les balles de 2-1. D'où les regrets ressentis en fin de partie. Mais au vu de la physionomie de la rencontre, le match nul est mérité. Comme le dit la formule, le compteur tourne même si ce n'est qu'un point pris. Nîmes reste relégable à l'issue de cette 24e journée avec un seul point de retard sur le 15e, Paris 13 Atlético et trois points sur les formations classés de 12 à 14. Tout est encore jouable, Nîmes reste dans la bataille et a désormais neuf matchs pour s'en sortir. 

Le Croco clé : Les vieux démons de retour

Avec la réussite sur le but de Doukansy la semaine passée et l'ouverture du score d'Abdeldjelil, hier soir, sur la première véritable occasion des Crocos, on pouvait penser que la chance avait enfin tourné. Mais la fin de match a prouvé le contraire. Sur un contre parfaitement mené, Abdeldjelil, du gauche, butait sur Patouillet. Une balle de 2-0 ratée et l'égalisation survient. Et pourtant, sur deux grosses situations, Nîmes pouvait l'emporter. Filant au but, Malouda était mis en échec par le gardien sochalien à deux reprises. Et quand ce dernier était battu, comme sur la frappe de Mexique, il était sauvé par son poteau, puis se déployait devant Paviot, qui tirait sur une jambe. Des situations franches mais regrettables car non converties en but. Outre le buteur et le passeur Sbaï, on peut retenir la maîtrise de Ngapandouetnbu dans les airs et sur la ligne malgré le but encaissé au final. 

Les notes :

La décla' : 

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