L'affaire de l'hôtel Atria qui a décidé, sur décision de sa tutelle, le groupe Accor, de ne plus offrir l'hospitalité aux expositions et collections des clubs taurins, n'en finit pas de faire des vagues. Fâchée par cette décision, la coordination des clubs taurins de Nîmes et du Gard a regretté que l'hôtel Atria, haut-lieu de l'aficion s'il en est, ait mis un terme, sans préavis et de façon unilatérale, à "tant de valeurs, symboles et traditions locales" jusqu'alors partagées. Sous la pression des anti-taurins de tous poils, qui mènent l'offensive sur tous les fronts et brandissent à la moindre occasion la menace du boycott. Présidée par Eric Pujante, l'Union taurine, le plus ancien club de Nîmes, a été contraint de démonter illico son exposition permanente - installée il y a de cela quatre mois - et de la transférer au Nîmotel. Le Cercle taurin, lui, a installé ce samedi soir son siège social à l'hôtel Imperator, dont la destinée est, il est vrai, liée depuis des lustres à celle de la tauromachie et des ferias de Nîmes. C'est également dans ce confortable QG des aficionados que se dérouleront, chaque 1 er jeudi du mois, les conférences-débats organisées par l'équipe de Charles Crépin.
Publié il y a 12 ans -
Mise à jour le 17.11.2012 - abdel-samari - 1 min
TRAIT POUR TRAIT Lorsque l'aficion fait lit à part

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Abdel Samari