Publié il y a 4 h - Mise à jour le 04.05.2025 - Anthony Maurin - 2 min  - vu 143 fois

TOROS Tarascon et sa feria de la Jouvenço attireront l'aficion

Novillada sans picadors de Rafael et Roland Durand pour Clovis, Pablo Sanchez et Iñigo Norte trophée Castella (Photo Anthony Maurin)

Clovis à Bellegarde en mars dernier (Photo ArAnthony Maurin)

L’affiche de la belle journée de la feria de la Jouvenço à Tarascon est désormais établie.

Novillada sans picadors de Rafael et Roland Durand pour Clovis, Pablo Sanchez et Iñigo Norte trophée Castella (Photo Anthony Maurin)
Clovis à Bellegarde en mars dernier (Photo ArAnthony Maurin)

Le 5 juillet à 11h aura lieu la traditionnelle novillada sans picadors organisée par l’École Taurine du Pays d’Arles, avec le soutien de la communauté d’agglomération Arles Crau Camargue Montagnette et de la ville de Tarascon. Por la tarde, une novillada formelle est comme toujours au programme.

Voilà une belle date qui a tendance à faire vivre de bonnes émotions. La feria de la Jouvenço de Tarascon proposera cette année encore une belle novillada. Rappelez-vous qu’ici, sous les platanes, vous avez pu voir, par exemple, un Andrés Roca Rey seulement quelques mois avant son alternative !

Finale Bolsin Nîmes métropole 2024 Valentin, Andy Martin et Léo Pallatier (Photo Anthony Maurin)
Léao Pallatier ici à Saint-Gilles (Photo Archives Anthony Maurin)

En 2025, le bétail proviendra de chez Charlotte Yonnet. Les fières pupilles de Camargue seront combattues par Leo Pallatier (école taurine « El Yiyo » à Madrid), Manuel Fuentes (école taurine du Pays d'Arles), Mathis Meseguer (école taurine du Pays d'Arles) et Baptiste Angosto (école taurine de Béziers).

Novillada sans picadors de San Sebastian,  Barcelo et Roland Durand,  La Suerte et François André pour Santiago López Ortega, Bruno Gimeno Fernandez, Valentin, Baptiste Hangosto et Matías (Photo Anthony Maurin)
Le joli eral de La Suerte à Alès pour Baptiste Angosto (Photo AAnthony Maurin)

La légendaire famille Yonnet est dans les toros depuis au moins 1859. Avec rigueur et passion, les générations se suivent et l’intégrité du toro de combat demeure l’idée principale de la ganaderia camarguaise. Après Hubert et son fils Christophe, Francine (Quinquin, la femme de Christophe) a mis tout son cœur dans l’histoire avant de laisser la main à Charlotte, leur fille qui gère les deux fers de l’élevage.

Novillada de Torrehendilla-Soberbina pour Nino Julian, Alejandro Chicharro et Javier Zulueta (Photo Anthony Maurin)
Nino Julian (Photo Archives Anthony Maurin)

Mais c’est bel et bien l’après-midi, à 18h, que la novillada piquée, avec en compétition le Prix Nimeño II, verra s’affronter trois piétons de haute volée. L’un d’entre eux a fait sa présentation à Arles il y a quelques jours, le novillero landais Juan Molas. Avec lui sera aligné le combatif et esthète nîmois Nino Julian. Enfin, c’est le dernier venu dans la catégorie, le Saintois Victor Clauzel « Victor » qui complètera le cartel et donnera à voir un toreo différent.

Fourques Novillada sans picadors de La Suerte, Gallon et Pagès-Mailhan pour Victor et Clovis (Photo Anthony Maurin)
La verticalité de Victor (Photo Archives Anthony Maurin)

Les novillos porteront les couleurs de la ganaderia Blohorn. Fondé en 1962, l’élevage renaît en 1995 avec Bruno Blohorn. Les couleurs ivoiriennes et le trèfle porte-bonheur ne font pas très camarguais, mais le sang Jandilla/Domecq propose des novilladas de qualité avec des toros toujours présents dans les trois tercios de la lidia.

Anthony Maurin

Gard

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