Publié il y a 8 ans - Mise à jour le 15.03.2016 - abdel-samari - 2 min  - vu 423 fois

TÉLÉVISION Saint-Gilles : Interview de Muriel, candidate à The Island, ce soir sur M6

The Island, seuls au monde est de retour ce mardi à 20h55 sur M6 Crédit : Guillaume MIRAND/M6

Sur deux îles désertes très éloignées l'une de l'autre, et situées en plein cœur de l'Océan Pacifique, à plus de 8000 km de la France, 15 hommes et 15 femmes vont tenter de survivre, pendant 28 jours, par leurs propres moyens et uniquement avec ce que l'île leur offre. Les hommes et les femmes ne se croiseront jamais, une île sera habitée par les hommes et l'autre par les femmes.

Pendant 28 jours, ils seront totalement seuls au monde sur ces îles, sans eau courante, sans nourriture, sans aucune communication avec le monde extérieur. Sur place, ils se filmeront eux-mêmes. Loin de tout confort moderne, ces hommes et ces femmes devront aussi faire face à une difficulté de taille : la saison des pluies et des tempêtes tropicales. Une météo terrible qui va leur faire vivre l'enfer.

The Island, seuls au monde : une émission à visionner ce mardi à 20h55 sur M6. L'occasion de découvrir Muriel, la soixantaine, habitante de Saint-Gilles dans le Gard, une candidate de caractère qui a consacré quelques minutes de son temps à la rédaction d'ObjectifGard pour raconter son aventure hors du commun.

ObjectifGard : Comment vous êtes vous retrouvé dans cette émission d'aventure ?

Muriel : Âgé de 61 ans cette année, j'ai décidé désormais de faire ce que je voulais et de profiter de la vie. Ça me tenait à cœur depuis longtemps de participer à une telle émission. J'ai cela dans le sang depuis mon plus jeune âge. Avec mon frère, on n'hésitait pas à jouer aux aventuriers du côté de Marseille, ou l'on résidait à l’époque.

En quoi l'émission The Island se différencie de Koh Lanta par exemple ?

Les deux émissions n'ont rien à voir. Il ne faut pas confondre. Dans Koh Lanta, que d'ailleurs j'ai beaucoup de plaisir à regarder, les candidats bénéficient de davantage de confort que ce soit avec le feu, l'eau ou le riz. D'ailleurs, les jeux de confort permettent régulièrement d'obtenir de quoi manger. Sans compter la présence des cameramans et des médecins. Nous, à la descente des bateaux, on se retrouve isolé sans rien du tout. Ni feu, ni manger, ni médecin, ni cameramans. C'est nous-mêmes qui nous filmons après avoir eu une formation en amont. Nous avons seulement 45 litres d'eau pour 15 femmes. Nous devons nous débrouiller entièrement pour trouver comment survivre.

Qu'est-ce que vous gardez de cette aventure ?

Je repars immédiatement. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ? Si l'on me propose une autre émission d'aventure, je suis prête. Sérieusement, le décor était exceptionnel : au Panama, dans l'Océan Pacifique, nous étions sur l'Archipel des Perles, tout est dit dans le nom.

A aucun moment, vous n'avez eu envie d'arrêter l'expérience ?

Bien sûr que si. Je suis franche. On n'est jamais vraiment préparé à vivre une expérience aussi forte et aussi difficile. C'est une histoire de mental. Après, faut que le corps suive et ce n'est pas gagné d'avance. Je vous invite à regarder l'émission pour savoir si je suis allé jusqu'au bout.

Abdel Samari

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