Publié il y a 3 ans - Mise à jour le 25.07.2020 - corentin-corger - 1 min  - vu 1849 fois

FUSILLADE Le syndicat Alliance dénonce "un manque criant d'effectifs" et évoque des "réalités dépassées"

Image d'illustration (Photo Corentin Corger)

Après la fusillade survenue la nuit dernière à Nîmes faisant un mort et trois blessés, le syndicat Alliance Police Nationale vient de publier un communiqué dénonçant "un manque criant d'effectifs" et demandant que "l'état de droit soit restauré". 

Après les tirs survenus la nuit dernière à Nîmes faisant un mort et trois blessés, la section départementale du syndicat Alliance Police Nationale a décidé de réagir par la voie d'un communiqué. Pour le syndicat, ces événements "démontrent une nouvelle fois la montée en puissance des actions criminelles sur le département du Gard. Les actes d’homicides ou de blessures volontaires par arme à feu n’ont que trop duré."

Pour les policiers, "ce type de comportement ultra-violent ne fait que renforcer le sentiment d’impunité et d’insécurité" sur le territoire. Alliance dénonce également "un manque criant d'effectifs" et des équipages "qui ne sont pas toujours équipés pour de telles situations." Pour y remédier, il demande "la mise en place rapide d'un audit sur les effectifs du département et sur les moyens matériels." 

Une situation qu'Alliance qualifie de "réalités dépassées" et demande "que l'état de droit soit restauré, et que les peines d’emprisonnement prononcées soient à la hauteur des infractions commises." Dans la matinée, c'est le maire de Nîmes Jean-Paul Fournier qui s'était exprimé et qui attend des mesures structurelles fortes pour rétablir l’ordre.

Corentin Corger

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