Publié il y a 3 ans - Mise à jour le 11.03.2021 - abdel-samari - 2 min  - vu 61 fois

GARD Émotions et souvenirs en hommage aux victimes du terrorisme

Le terrorisme est un fléau international qui tue bien au-delà des frontières de l’humanité.

Dans tous les cas, quand on fait le choix d’être terroriste, c’est qu’on n’est plus vraiment un Homme… Cependant, il reste les victimes au sens large. Les victimes qui ont été tuées ou blessées, les victimes qui ont perdu leurs proches et celles qui porteront ces marques jusqu’à la fin de leurs jours.

Au monument aux morts de Nîmes, square du 11 novembre, c’est la directrice de la Préfète Marie-Françoise Lecaillon, Iulia Suc, qui assurait l’hommage en lisant un texte.

« Nous rendons hommage aux victimes du terrorisme. La date a été choisie par l’Union européenne en souvenir de l’attentat de la gare d’Atocha à Madrid en 2004. Cela nous rassemble à travers les frontières, les terroristes tuent de manière aveugle, souvenons-nous de chaque nom de ces victimes. Dans le Gard, deux soldats, un mort et un blessé en 1983 à l’attentat de Beyrouth, ont récemment reçu la Médaille nationale de reconnaissance aux victimes du terrorisme. »

La sous-Préfète s’est ensuite lancée dans une émouvante lecture de la lettre ouverte d’Antoine Leiris.

Six gerbes ont été déposées au monument aux morts. Nîmes métropole avec Géraldine Rey-Deschamps et Richard Tibérino, la députée Françoise Dumas, la Région Occitanie avec Jean Denat, Amal Couvreur et Christian Bastid pour le Conseil départemental, Moinique Boissière pour la Mairie de Nîmes et Iulia Suc pour la Prefecture du Gard.

Une cérémonie a également eu lieu au cimetière situé sur la route de Saint-Gilles à Beaucaire. Le maire, Julien Sanchez, a rendu hommage aux victimes d’actes terroristes perpétrés en France depuis 2012. Il a ensuite déclaré : « Des mesures sont indispensables, c’est une question de volonté politique, pour permettre d’éviter ces attaques commises par des personnes qui n’auraient jamais dû être sur le sol français ». L’hymne à la liberté a ensuite retenti.

Abdel Samari

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