Publié il y a 2 ans - Mise à jour le 31.03.2021 - thierry-allard - 2 min  - vu 3462 fois

CORONAVIRUS Le nombre d’hospitalisations en hausse dans le Gard

Au service réanimation au CHU de Nîmes. (Photo Romain Cura/ObjectifGard)

Comme chaque mardi et chaque vendredi, l’Agence régionale de la santé Occitanie (ARS) communique les chiffres de la pandémie de coronavirus dans la région et le département. 

Et ce mardi soir encore, le nombre d’hospitalisations est en hausse en Occitanie. Nous en sommes ce soir à 1 642 hospitalisations en cours, c’est 96 de plus qu’il y a quatre jours. Parmi elles, 317 personnes sont placées en réanimation ou en soins critiques, un chiffre presque stable (-1 depuis vendredi). Quant au nombre de décès, il grimpe de 44 personnes en 4 jours, pour atteindre ce mardi soir 3 572 personnes ayant perdu la vie dans les hôpitaux d’Occitanie depuis le début de la pandémie. 

Pour le Gard, la tendance est la même qu’au niveau régional. Ce mardi soir, notre département compte 240 personnes hospitalisées, c’est 12 de plus que vendredi. En revanche, le nombre de personnes placées en réanimation reste quasi stable, et passe de 51 personnes vendredi à 52 ce mardi. Quant au nombre de décès, il croît de 5 personnes au cours des quatre derniers jours (505 décès ce mardi soir depuis le début de la pandémie dans les hôpitaux gardois). 

Au niveau régional, le nombre de nouveaux cas détectés chaque semaine continue de réaugmenter. Ainsi, sur les sept derniers jours 15 044 nouveaux cas ont été dépistés en Occitanie. Ce chiffre était de 12 972 vendredi. 

Le nombre de tests pratiqués chaque semaine en région est lui aussi en augmentation, et approche désormais les 250 000 (248 000 environ), contre 218 000 vendredi. La part de ces tests qui s’avère positive est elle aussi en augmentation, et est désormais de 6,6 % (+0,4 % en 4 jours). 

Enfin, sur le front de la vaccination notre région a dépassé ce mardi le million de doses de vaccin déjà administrés. Pour l’heure, 12,6 % de la population d’Occitanie est vaccinée avec au moins la première injection.  

Th.A

Thierry Allard

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