Publié il y a 2 ans - Mise à jour le 23.02.2022 - norman-jardin - 3 min  - vu 2850 fois

LA MINUTE SPORT L'actualité sportive de ce mercredi 23 février

Les joueurs nîmois pourraient ne plus être équipés par Puma la saison prochaine (Photo Nîmes Olympique)

Mathieu Robail avec un maillot de la marque Errea qui était l'équipementier du Nîmes Olympique de 2002 à 2016 [Photo via MaxPPP] • WORLDPICTURES/MAXPPP
Comme chaque jour du lundi au vendredi, découvrez l’essentiel de l'actualité sportive gardoise en quelques infos. 

Nîmes Olympique

Un nouvel équipementier ? La fin de la saison 2021-2022 marquera le terme du contrat qui lie actuellement la marque Puma au Nîmes Olympique. Mais rien n'indique que l'aventure, qui a commencé en 2016, entre le célèbre félin et les Crocodiles va se poursuivre. Récemment, le président Rani Assaf a reçu les représentants de Puma (Allemagne), mais aussi d'Adidas (Allemagne), Hummel (marque danoise et équipementier de NO de 1999 à 2002) et Errea (Italie). Chaque offre est actuellement à l'étude avant de déterminer laquelle est la meilleure. Pour décrocher le contrat qui débutera la saison prochaine, l'enveloppe financière est prise en compte mais pas seulement car l'aspect esthétique du futur maillot est également un critère important. Selon nos informations, la marque Errea tiendrait la corde pour équiper Nîmes Olympique pour les trois prochaines saisons. Ce serait un bond dans le passé car l'équipementier parmesan a fourni les maillots du NO de 2002 à 2016. Si rien n'est encore décidé, ce dossier devrait cependant être bouclé avant la fin de mois de mars.

Marc Bollengier sera l'arbitre du match entre Amiens et Nîmes (Photo Facebook)

Bollengier au sifflet. C'est le jeune arbitre âgé de 30 ans Marc Bollengier qui sera au sifflet de cette rencontre de la 26e journée de Ligue 2, samedi à 19h, entre Amiens et Nîmes Olympique. L'homme en noir est apparu à 14 reprises cette saison en Ligue 2 pour sa première participation en ce championnat. Il n'a jamais arbitré un match des Crocos mais deux rencontres du club picard : une défaite à domicile contre Quevilly (1-3) et un match nul contre Pau (2-2). M. Bollengier officiait encore en N2, il y a deux saisons. C'est d'ailleurs à cette époque qu'il a déjà croisé la route de Kelyan Guessoum et Antoine Valerio lors d'une confrontation entre l'équipe réserve du NO et Endoume, à la Bastide (0-0) le 7 mars 2020, juste avant le premier confinement. Samedi ce sera la première fois qu'il arbitrera l'équipe fanion nîmoise.

USAM

Le point sur l'Europe ? La défaite des Nîmois hier à Athènes (34-30) oblige les joueurs de Franck Maurice à se battre jusqu'au bout de cette phase de poule pour aller chercher la première place. Si la Green team est toujours en tête de son groupe, et déjà qualifiée pour les huitièmes de finale, aucune place, de la première à la quatrième, ne lui est encore garantie. Mais une chose est sûre, l'USAM a son destin entre ses mains et deux victoires lors des deux dernières journées assureraient la tête de la poule. Curiosité du calendrier, lors des journées 9 et 10, aucun match n'opposera des rivaux de Nîmes. De fait, même si les Gardois sont pour l'instant les mieux placés dans cette poule, ils peuvent encore terminer quatrième d'autant qu'ils ont le calendrier le plus compliqué avec la réception de Schaffhausen (mardi prochain) et le déplacement à Lisbonne (8 mars). Les deux défaites face aux Athéniens font mal aux Nîmois qui doivent maintenant terminer le travail au plus vite pour ne pas dégringoler et se retrouver avec un tirage plus délicat en 8e.

Jeux Olympiques

Lionel Lefebvre a participé aux JO de Pékin (Photo IBSF/Viesturs Lacis)

"Ça ne reflète pas notre niveau". Lionel Lefebvre est le seul Gardois à avoir participé aux Jeux Olympiques d'hiver de Pékin qui viennent de se terminer. En lice sur l'épreuve du bobsleigh à 4, le résident de Castillon-du-Gard et ses compères de l'équipe de France n'ont terminé que 19e au classement final. Revenu hier de Chine, Lionel était forcément déçu de ce résultat : "Ça ne reflète pas notre niveau. Nous avons eu des problèmes techniques qui nous ont empêché d'être compétitifs." Dans un deuxième temps, le bobeur retient surtout cette expérience incroyable et riche en émotions qu'il a vécu : "Ce qui prime sur tout c’est la joie et la fierté d’avoir atteint mon rêve. Celui de représenter mon pays, ma famille, tout mes amis aux JO ! Ces sentiments sont d’autant plus forts que cela fait longtemps que je m’acharnais au travail pour réussir. J’ai tellement travaillé dur que j’ai des fois remis en question le dicton "Le travail paie", mais maintenant je peux dire : "le travail paie toujours un jour ou l’autre !" Pour moi, il a fallu plus de sept ans, et je regrette rien de mon parcours !" 

Norman Jardin

A la une

Voir Plus

A la une

Voir Plus

En direct

Voir Plus

Studio