« J’ai visité les sites des bombardements, parlé avec les survivants de ces attaques, avec les chercheurs nucléaires qui n’ont pas été tués, visité la prison d’Evin, échangé avec des journalistes locaux », précise Andreas Landeck, qui a pu se rendre en Iran car il avait remporté, au Festival international des médias SOBH de Téhéran, le prix du meilleur documentaire pour « Un père, un fils et Sankara », sorti en 2024.
De ces rencontres, le réalisateur compte faire un film documentaire, « dans une perspective anti-colonialiste », présente-t-il, sans prendre parti pour le régime iranien actuellement en place. Il évoquera ce projet et ce qu’il a vu sur place quelques jours après les bombardements lors d’une conférence-débat ce vendredi 7 novembre à 19 heures au foyer de Sanilhac. Entrée libre.