C'est la plainte d'une jeune femme qui est à l'origine de l'enquête et des investigations. Cette dame, qui travaillait dans une étude d'huissier, a révélé l'attitude qualifiée de "harcèlement sexuel" de la part de son patron.
Cet officier public et ministériel a été placé en garde à vue lundi et pendant 48 heures. Mercredi après-midi, il a été présenté à un juge d'instruction du tribunal de Nîmes et mis en examen. Il a été placé sous contrôle judiciaire. Selon nos renseignements, cet homme aurait reconnu des "blagues déplacées", mais pas le harcèlement sexuel évoqué par la plaignante.
