Pour le café-toro du 4 novembre prochain, le programme sera la rencontre avec Tibo García. C’est en 1997, que Tibault Moreau né à Nîmes. Seize ans plus tard, l'adolescent a fait place au torero pour devenir Tibo García.

En 2016, il a débuté en novillada piquée, puis après 31 paseos dont deux à Nîmes et un à Madrid, il est devenu matador de toros en 2019 à Saint-Gilles, des mains de Sébastien Castella et en présence d'Emilio De Justo.

Depuis, ses prestations sont hélas plutôt rares, oublié des empresas, comme au cours de l'année écoulée, où, en dépit de l'oreille de poids d'un Dolores Aguirre à Saint-Martin-de-Crau et d'une grande porte à Alès, il n'a plus traversé de piste vêtu de lumières. Son envie est intacte et il viendra en témoigner ce samedi pour ce nouveau café-toro.

Au programme du jour, on va aussi parler du rallye. Pour sa sixième édition, le rallye touristique et taurin avait pour thème « Camargue et toros ». En effet, durant une journée entière parsemée d’énigmes et de défis, les participants ont pu s’amuser de la richesse des formes de vie sur notre planète.

Comme chaque année, il fallait être attentif car beaucoup de questions étaient complexes. Rappelons que ce rallye taurin et touristique n’est pas une course de vitesse et que l’objectif est de partir du point A, avec une enveloppe dans laquelle le point B est à découvrir et ainsi de suite jusqu’à l’arrivée.

Chaque équipe, autonome, disposait d’un questionnaire invitant les participants à rejoindre, sous forme ludique et anecdotique, des sites alentours pour répondre à des énigmes de degrés variables. 

Autre sujet de réunion et de convivialité, la coordination organisera un loto le dimanche 10 décembre prochain à 15h. Un moment de chaleur au cœur de l'hiver. Plus de détails à venir…

Enfin, les clubs taurins soutiennent le retour des toros à Fourques. Trois clubs taurins de la coordination mettent ainsi la jambe et organisaient, le 1er novembre, une novillada sin caballos. Au-delà de saluer leur courage et leur détermination, il y a lieu de soutenir le Cercle taurin Campuzano, la Peña Cayetano Rivera Ordónez et la Peña Javier Cortés, en remplissant jusqu'au toit les arènes de Fourques. Cet autre quartier d'Arles, comme se plaît à l'appeler son maire, aficionado y practico permet donc de voir à nouveau des toros sur place depuis quelques semaines.