Publié il y a 13 ans - Mise à jour le 23.08.2023 - abdel-samari - 3 min  - vu 3632 fois

TEMOIGNAGE : LA POLYCLINIQUE DU GRAND SUD DE NIMES MONTREE DU DOIGT PAR UNE INTERNAUTE ...

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Nous avons reçus en commentaire, ce week-end, une lettre d'une internaute incriminant la Polyclinique du Grand Sud et un gynécologue-obstétricien sur son accouchement vécu comme un calvaire ...

Nous ne pouvons laisser ce commentaire en l'état notamment parce que l'internaute dans son commentaire diffuse de fortes accusations sur le médecin, en évoquant librement son nom et fonction !

ObjectifGard laissant entière liberté à ses fidéles lecteurs, porte toutefois une responsabilité sur les propos tenus sur le blog ...

Aussi, nous avons décidés de consacrer un article à ce témoignage mais vous encourages à nous transmettres vos informations via les formulaires mis à votre dispositiion !

Amicalement,

Voici le témoignage édulcoré de l'internaute :

"Le lundi 22 décembre dernier, vers 5h du matin, j'ai accouché de mon deuxième enfant dans votre clinique, dans laquelle je m'étais inscrite par souci de proximité.

J'ai été assistée par le médecin d'astreinte, le Dr X, voici quelques regrettables épisodes :

- Sans même me demander mon avis et alors que j'avais encore suffisamment d'énergie pour « pousser », il a pratiqué l'épisiotomie que je souhaitais vivement éviter et à laquelle je ne m'attendais vraiment pas.

- le crâne de l'enfant à peine à demi sorti, mon mari l'a vu l'empoigner pour le tirer, au point que ses doigts s'y enfonçaient...

- A peine l'enfant « extirpé », il n'a eu de cesse de faire sortir le placenta, pressant violemment sur mon ventre à plusieurs reprises, alors que j'avais encore des contractions ! La sage-femme à quand même eu alors la délicatesse de lui souffler : « elle n'a pas eu de péridurale » - on se serait cru dans un pays sous-développé !

- Enfin il a fallu recoudre l'épisiotomie : sans même attendre l'effet de la piqûre d'anesthésie (peut-être ratée d'ailleurs ?), il s'est appliqué à recoudre sans état d'âme, alors que je faisais des bonds à chaque point. Mon mari qui gardait le petit laissé seul par la sage femme sur la table à langer, était témoin de la scène et en avait le souffle coupé.

En conclusion, cet homme semblait très pressé d'expédier son intervention, laquelle s'apparentait plus à celle d'un vétérinaire ... Il nous a bien fallu ces deux mois et demi pour « digérer » les circonstances de cet accouchement que nous qualifions de barbares, et qui ont certainement laissé des séquelles - au moins psychologiques - à moi-même et à notre nouveau-né.

Alors que cet évènement devrait laisser un heureux et agréable souvenir - et je peux vous assurer que ce fut le cas pour celui de notre premier enfant, né clinique St Michel à Toulon - désormais le passage régulier devant votre clinique ravive toujours en nous, et pour longtemps encore, un sentiment d'échec et de frustration.

Il nous sera bien difficile de retourner dans votre clinique, quel qu'en soit la nécessité, mais il est certain que nous suivrons de près l'évolution de son personnel. Et dans l'attente d'une rapide intervention de votre part, je vous prie d'agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

P.S. : par solidarité pour les futures mamans, il nous parait indispensable de publier cette lettre sur les forums internet appropriés."

Voilà qui est dit !!!

Abdel Samari

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