
Suite à la vague de 91 licenciements dont a été victime le journal La Marseillaise, l'agence alésienne du quotidien communiste, située rue Beauteville, a définitivement tiré le rideau vendredi matin. Sur trois journalistes présents sur la ville, un seul a gardé son poste, Alain Laurens. Il exercera en télé-travail. "Une page s'est tournée mais une autre est en train de s'écrire. La Marseillaise reste toujours présente à Alès", rassure-t-il.
A Nîmes, l'agence est conservée mais quatre journalistes sur six ont également dû quitter la rédaction. Il reste donc aujourd'hui seulement trois rédacteurs sur l'ensemble du Gard.
Pas bon du tout pour le pluralisme.