Publié il y a 4 ans - Mise à jour le 03.11.2019 - anthony-maurin - 1 min  - vu 232 fois

NÎMES Cérémonies officielles et souvenir collectif

(Photo Anthony Maurin).

Relativement peu de monde pour cette cérémonie un brin pluvieuse (Photo Anthony Maurin).

Si vous ne le savez pas, autant l'apprendre ! Le 1er ou le 2 novembre de chaque année (c'était le 2 à Nîmes), une cérémonie est consacrée dans chaque commune à la mémoire et à la glorification des héros morts pour la Patrie.

Au pied du Mémorial des rapatriés (Photo Anthony Maurin).

Cette loi, parce que c'en est une, date du 25 octobre 1919 et est relative à la commémoration et à la glorification pour la France au cours de la Grande Guerre. Donc, cent ans plus tard, nous voilà au cimetière du Pont de Justice pour une double cérémonie qui portait le cortège du Mémorial des rapatriés au Carré militaire.

À la mémoire des Pieds-Noirs et des Harkis, le maire de Nîmes et des membres de son conseil municipal ont déposé les gerbes du souvenir, tout comme Françoise Bons pour la Région, et les représentants des principaux concernés, Harkis et Pieds-Noirs. Sonnerie aux morts, Marseillaise et c'est nous les Africains.

Au Carré militaire du cimetière du Pont de Justice (Photo Anthony Maurin).

Au Carré militaire, les membres de l'association nationale Le souvenir français ont pris la parole et rappelé l'intérêt de ces moments. Outre la simple mais nécessaire mémoire, les quelque 700 000 tombes de personnes tombées au combat qui reposent dans nos cimetières sont en péril. Les concessions arrivent à leur fin, personne ne les renouvelle et les héros tombent dans l'oubli. Le Souvenir veut sauvegarder cette mémoire collective, vous pouvez donner ici.

Un poème au Soldat inconnu et un nouveau dépôt de gerbe de Nîmes Métropole et du Conseil départemental.

(Photo Anthony Maurin).

Anthony Maurin

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