Le 16 février, les policiers interviennent au domicile d'un homme âgé de 44 ans suite à des faits de violences conjugales et de menaces de mort sur sa concubine, mais aussi de violences sur des mineurs. Interpellé sans résistance, il est placé en garde à vue. Il reconnaît les faits qui lui sont reprochés sur sa compagne, mais réfute les violences sur les enfants. Suite à une expertise médicale, aucune incapacité totale de travail n'a été délivrée à la victime. Le mis en cause a été remis en liberté avec convocation en justice pour le 2 mars prochain.