Le yoga du rire a été créé par le docteur Madan Kataria, en Inde, dans les années 90. La méthode repose sur une idée simple : « Nous n’avons pas besoin d’avoir de l’humour pour rire, il suffit d'en avoir l'intention », explique Christian Bigot, l’organisateur de la formation.

Ayant de solides attaches dans le Gard après y avoir vécu dans les années 1980, Christian Bigot revient aujourd’hui dans la région avec un objectif simple : former des diffuseurs de bonne humeur. L’adresse exacte de la formation, qui se déroulera à Alès, est communiquée une fois l’inscription validée.

Mêlant rires volontaires, exercices de respiration, mouvements corporels et moments de relaxation, cette pratique agit sur le corps et l’esprit. « Le rire, même simulé, devient rapidement authentique et contagieux », souligne Christian Bigot. Le but : générer un bien-être immédiat, mais aussi nourrir un espace de lien, de confiance et de légèreté entre les participants.

Une formation pour tous les profils

Cette formation certifiante s’adresse à toute personne désireuse d’introduire un peu plus de joie dans son quotidien, personnel ou professionnel. Pas besoin d’être souple, drôle ou expérimenté : la méthode est conçue pour être transmise facilement à tous les publics.

« On peut ensuite l’animer dans une maison de retraite, une école, une entreprise, une association ou même en famille », précise Christian Bigot. L’objectif est de former des ambassadeurs du rire, capables de conduire des ateliers dans des environnements variés : du milieu hospitalier au cadre scolaire, en passant par des séminaires d’entreprise ou des événements associatifs.

Un moment hors du temps… et du stress

Les participants sont invités à vivre une véritable bulle de bienveillance, durant laquelle on se reconnecte à soi, aux autres, et à la joie simple d’un rire partagé. « Ce sont deux jours de respiration, de reconnexion à l’instant présent, et d’énergie positive », confie une ancienne participante.

Et pour ceux qui souhaiteraient se lancer mais ne sont pas disponibles ce week-end-là, d’autres créneaux sont possibles. « Tout peut s’envisager, il suffit de demander. On peut aussi organiser des formations sur-mesure », ajoute Christian Bigot.