« On sait qu’il y aura un espace d’exposition d’une centaine de mètres carrés, la reconstitution d’un baraquement de 70 mètres carrés, un cheminement avec 14 panneaux sur 1 000 mètres carrés qui vont retracer l’histoire du camp et l’aménagement d’un espace extérieur avec un geste architectural », détaille Jean-Christian Rey. L’Agglomération porte le projet, épaulée par un conseil scientifique et culturel composé notamment d’historiens.
Le concours d’architecte a été fructueux, avec « 82 réponses, dont des cabinets internationaux et nationaux, 3 ont été choisis », poursuit le président de l’Agglomération. Lundi soir, il s’agissait de déclarer le projet d’intérêt général, car « on a besoin de déroger à certaines règles d’urbanisme et d’accélérer les choses », affirme Jean-Christian Rey. Les travaux doivent débuter en 2027.