Publié il y a 9 mois - Mise à jour le 08.06.2023 - CC - 1 min  - vu 337 fois

NÎMES Maison Carrée à l'Unesco : Jean-Paul Fournier a rencontré la ministre de la Culture

Jean-Paul Fournier, Rima Abdul-Malak et Mary Bourgade 

- Photo ville de Nîmes

Le maire de Nîmes, Jean-Paul Fournier, accompagné de son adjointe déléguée à l’inscription Unesco, au patrimoine antique et à la coopération internationale, a rencontré la ministre de la Culture, Rima Abdul-Malak, ce mercredi 7 juin, à Paris. Découvrez ci-dessous la réaction du maire de Nîmes. 

« Après la mobilisation réussie de vendredi dernier, j’ai rencontré, hier après-midi, avec Mary Bourgade, la Ministre de la Culture, Rima Abdul-Malak, comme j’avais pu le faire avec tous ses prédécesseurs depuis de nombreuses années, dont Audrey Azoulay, actuelle directrice générale de l’UNESCO. L’entretien a eu pour objet principal la candidature de la Maison Carrée au Patrimoine mondial.

En effet, si le dossier sera défendu par l’ambassadeur de France au sein de cet organisme onusien, c’est le Ministère de la Culture et plus précisément la Direction générale du Patrimoine et de l’Architecture qui l’a accompagné de manière technique, en lien très étroit avec les services de la Ville de Nîmes, depuis le début. Cela démontre l’implication de la République, pour faire aboutir notre démarche en septembre prochain à Riyad, en Arabie Saoudite. Madame la Ministre a affirmé le soutien plein et entier de l’État et a souligné la qualité notre travail.

"La Ministre s’est inquiétée de cette situation"

J’ai profité de ces échanges avec Madame Abdul-Malak pour aborder d’autres thématiques culturelles comme la triennale d’art contemporain proposée l’an prochain à Nîmes sur l’espace public, ainsi que l’avenir du théâtre Bernadette Lafont. Mais le dossier chaud qui a occupé les discussions est sans nul doute la fermeture de la médiathèque Marc Bernard. Madame la Ministre s’est inquiétée de cette situation. J’ai pu lui indiquer que l’urgence était, avant de rouvrir ce lieu de culture, de renforcer la présence policière sur le long terme. L’arrivée d’une compagnie de CRS est une bonne chose, mais pour réussir, cette présence devra impérativement s’inscrire dans la durée. » 

CC

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