Publié il y a 2 h - Mise à jour le 09.11.2025 - Norman Jardin - 2 min  - vu 433 fois

NÎMES La boutique « Les Pâtés Nîmois » inaugurée, le succès de la petite gourmandise salée

L'inauguration de la boutique a eu du succès.

- Photo : Norman Jardin.

La boutique a ouvert ses portes à la fin de l’année 2024 et c’est ce dimanche qu’elle a été inaugurée.  

Pour l’occasion, la Maison Buisson avait organisé un moment festif et convivial avec dégustation des pâtés nîmois bien sûr mais aussi du vin et le tout en musique. Si le commerce est installé au 9 rue de la Madeleine, ce n’est pas dû au hasard selon Frédéric Buisson, le patron de l’entreprise : « On trouvait que cet endroit était le plus stratégique de Nîmes à côté des Croquants Villaret et de la Maison de la brandade, les spécialités nîmoises. C’est une très belle aventure, nous ne pensions pas que cela marcherait aussi bien ».

Les clients patientaient pour acheter les pâtés nîmois. • Photo : Norman Jardin.
La gamme des pâtés nîmois s'agrandit à l'occasion des fêtes de fin d'année. • Photo : Norman Jardin.

Des nouveaux pâtés nîmois pour les fêtes de fin d'année

La gamme des six pâtés nîmois existants (Tiellette, Nîmois, Chorizo, Camarguais, Brandade et à la Provençale) s’élargit pour les périodes des fêtes de fin d’année. Depuis ce dimanche, les petits pâtés se déclinent aussi au foie gras, à la brandade truffée, au boudin noir et au duo brandade-chorizo. Six personnes travaillent dans la boutique (où l’on trouve aussi des fougasses et des fougasses d’Aigues-Mortes), dont les trois filles de Frédéric, Melissa, Julia et Naïs.

Frédéric Buisson entouré de ses filles Melissa, Naïs et Julia. • Photo : Norman Jardin.
Éric, le chef qui confectionne les petits patés nîmois. • Photo : Norman Jardin.

500 000 patés nîmois produits en 2025

Chaque jour, des milliers de petits pâtés sont confectionnés dans les locaux du quai de la Fontaine. C’est Éric, un Parisien qui s’en charge, mais rassurez-vous, il est arrivé dans la cité des Antonin dans les années 1980 et il est aujourd’hui un vrai Nîmois. « On le fait avec de la pâte brisée, on en fait des tubes que l’on garnit de toutes sortes de viandes. J’en suis à 11 sortes différentes pour la fin de l’année et pour 2025 nous en aurons produit environ 500 000 » détaille le chef. Le terroir nîmois a encore de beaux jours devant lui.

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