Publié il y a 4 ans - Mise à jour le 10.06.2019 - coralie-mollaret - 1 min  - vu 1225 fois

NÎMES EN FERIA Une fête qui n’en finit pas…

Au Prolé, on se taquine, on se titille ! (Photo : CM)

Des platines surchauffées rue Jean-Reboul, en partenariat avec la radio NRJ.

Ce dimanche soir, veille de jour férié, les festaïres ont de nouveau arpenté les bodegas.

Un dimanche aussi animé à Nîmes, ça ne se voit qu'en période de feria. Une fête populaire où les festaïres s'arrêtent de bodega en bodega. Artère principale, le boulevard Victor-Hugo est le centre névralgique de la fête. Comme chaque année, le gérant du bar éponyme, Nicolas Delprat a sorti l'énorme toro qui orne la façade de son bar. Un repère bien précieux pour se donner rendez-vous...

Au Victor-Hugo, cet incontournable rendez-vous nocturne de la feria ! (Photo : CM)

Un peu plus bas, au café Olive, les jeunes s'ambiancent sur des rythmes plus endiablés aux sonorités parfois africaines et jamaïcaines. De quoi faire plaisir aux festaïres qui commençaient à se lasser des chansons paillardes !

À l'Olive, on se déhanche (Photo : CM)

Entre-temps, un petit stop à la bodega des Amis de Pablo Romero où les murs ornés des photos de tauromachie vous plongent en Espagne... Une étape où le temps s'arrête avant de chanter en cœur à minuit la Coupo Santo, l'hymne provençal. Entre tradition et modernité !

Hier soir au "Pablo" ! (Photo : CM)

Ambiance plus festive au Prolé où l'on se tape dans le dos avec un mojito ! Repère des communistes tout au long de l'année, l'atmosphère jeune et chaleureuse y donne ses lettres de noblesse à la feria nîmoise. Une feria populaire où les différences s'effacent dans la joie de la fête.

Coralie Mollaret

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