Publié il y a 4 ans - Mise à jour le 08.10.2020 - corentin-corger - 3 min  - vu 2296 fois

LA MINUTE SPORT Les indiscrétions sportives de ce jeudi 8 octobre

Le capitaine nîmois sera absent contre le PSG (Photo Anthony Maurin). - Anthony MAURIN

Mbappé pourrait être laissé au repos face à Nîmes (Photo via Maxppp) • EPA

L'essentiel de l'actualité sportive gardoise en quelques infos !

Nîmes Olympique

Un PSG très amoindri. Au retour de la trêve internationale, Nîmes Olympique reçoit le PSG au stade des Costières le vendredi 16 octobre à 21h (7e journée de Ligue 1). Pour ce match, l'effectif parisien devrait se retrouver très amoindri. D'une part Di Maria, Marquinhos et Kurzawa sont suspendus pour ce déplacement dans le Gard. De l'autre, ce ne sont pas moins de 11 joueurs qui seront sur le pont en milieu de semaine prochaine avec leurs sélections respectives. Neymar (Brésil), Paredes (Argentine), Bakker (Espoirs Pays-Bas), Draxler (Allemagne), Gueye (Sénégal), Kimpembe, Mbappé (France), Florenzi, Verratti, Kean (Italie) et Pereira (Portugal) vont jouer les 13 et 14 octobre. Avant son entrée en lice en Ligue des Champions face à Manchester United quatre jours après, Thomas Tuchel devrait donc faire souffler pas mal de cadres. De quoi donner une opportunité aux Nîmois de suivre les pas des Lensois qui avaient battu un champion de France diminué en début de saison (1-0). Les Crocos auront un dernier léger entraînement ce vendredi matin avant de prendre la direction de l'Aveyron pour affronter Rodez, en amical, à Millau (à 18h).

Briançon suspendu. Si le PSG sera très amoindri pour ce match, Nîmes Olympique aura aussi des absents. Victime d'une déchirure aux adducteurs en sélection, Zinedine Ferhat devrait ne pas être remis à temps pour cette rencontre. De plus, Anthony Briançon est suspendu pour affronter les Parisiens après les décisions de la commission de discipline de la LFP, réunie hier soir. Averti face à Montpellier, le capitaine nîmois est rattrapé pour révocation du sursis à la suite de son expulsion à Rennes, la saison dernière (23 février 2020, défaite 2-1) lors de la 26e journée. La décision prend effet à partir de ce mardi 13 octobre à minuit.

USAM

Dans ce derby rude, la bouche de Rebichon a en fait les frais (Photo Anthony Maurin) • Anthony MAURIN

Rebich'ico. Hier soir, lors du derby perdu de justesse face à Montpellier (24-25), un événement assez rare s'est produit en début de seconde période. Julien Rebichon a perdu une dent après un contact avec Alexis Borges (196 cm, 105 kg). La main du pivot portugais a violemment percuté la mâchoire du capitaine usamiste. Ce dernier l'a sorti de sa bouche pour la transmettre à son beau-frère Benjamin Gallego, alors sur le banc, qui comme s'il portait une couche sale d'un bébé l'a transmis au docteur. "Ce matin je suis allé voir mon dentiste et il m'a remis la dent", commente l'intéressé qui n'a pas immortalisé l'instant avant d'être soigné. "Je voulais mettre une dent en or mais comme on a perdu j'ai pas eu la prime de match !", poursuit-il avec humour. Une mésaventure qu'il a déjà connu par le passé et qui ne l'empêchera pas de jouer samedi face à Créteil (20h) au Parnasse. "Même avec toutes les dents en moins je jouerai", conclut Rebich' déterminé à retrouver le chemin de la victoire.

Le préfet Didier Lauga, Michaël Delafosse, Jalil Benabdillah et Franck Proust (Photo Corentin Corger)

Le derby des élus. Pour ce match de gala au Parnasse, les élus locaux n'auraient pas raté une telle occasion. Et pas seulement les Nîmois ou Gardois. Michaël Delafosse, élu maire de Montpellier en 2020, a fait le court déplacement pour encourager le MHB avec même un masque aux couleurs de l'équipe de handball de sa ville. Si sur le terrain le derby a été rude, en tribune les relations étaient forcément plus cordiales. On en veut pour preuve ces retrouvailles à la mi-temps entre le préfet du Gard, Didier Lauga, Jalil Benabdillah, le président de leader Occitanie, et Franck Proust, le président de Nîmes métropole. Si le premier magistrat de la capitale héraultaise a conservé son sourire après la rencontre, on ne peut en dire autant des politiques gardois.

Corentin Corger

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