Publié il y a 9 mois - Mise à jour le 11.07.2023 - Anthony Maurin - 1 min  - vu 578 fois

NÎMES L’Inrap poursuivra son travail et fera découvrir notre histoire

Ici Richard Pellet lors des fouilles de la salle cruciforme située sous le sable de l'amphithéâtre nîmois (Photo Archives Anthony Maurin).

Sans surprise, l’Inrap poursuivra son travail à Nîmes.

Ici Richard Pellet lors des fouilles de la salle cruciforme située sous le sable de l'amphithéâtre nîmois (Photo Archives Anthony Maurin).

Nîmes a renouvelé la convention cadre de collaboration scientifique et culturelle qui l’unissait à l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap). La Ville entend favoriser la détection, la conservation et la sauvegarde des éléments de son patrimoine archéologique affectés ou susceptibles d’être affectés par les travaux publics et privés concourant à l’aménagement du territoire communal.

Elle souhaite contribuer à la coordination et la bonne mise en œuvre des opérations d’archéologie préventive ainsi qu’au développement des études scientifiques qui en découlent. Nîmes ne dispose pas d’un service territorial agréé pour la réalisation des opérations de diagnostic d’archéologie préventive prescrites sur son territoire et aucun autre service archéologique territorial agréé n’a cette compétence.

Quand on n’a pas et qu’on ne sait pas faire, on délègue, si possible, aux meilleurs. En raison de l’importance du patrimoine archéologique nîmois, et sans attendre la mise en place d’un service territorial agréé, Nîmes veut donc favoriser la prise en compte de ce patrimoine et la diffusion au public des connaissances s’y rapportant.

La collaboration scientifique et culturelle entre la Ville et l’Inrap permet de réunir et de disposer de l’ensemble des données archéologiques relatives au territoire nîmois et d’avoir ainsi une vision archéologique globale de ce territoire. Comme l’Inrap est au top de ce que l’archéologie française produit, Nîmes signe bien volontiers cette convention cadre pour la renouveler pour une durée de trois ans.

La tour du milieu, entre le haut de Montaury et le bas de la route de Sauve (Photo Anthony Maurin)

Anthony Maurin

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