C’est le dernier de la mandature Fournier. Créé il y a trois ans, le village du développement durable et de la transition écologique se tient, ce mercredi, sur l’esplanade. L’occasion pour l’adjointe à l’environnement, Chantal May, de faire état des efforts de la municipalité en la matière. L’écologie, dans la ville la plus chaude de France, sera à coup sûr l'un des enjeux de la campagne municipale 2026. « Ce n’est pas une option mais une nécessité », souligne l’élue, « ce lundi marquera le coup d’envoi du parc Jacques-Chirac. On peut parler aussi des efforts en matière de déplacements avec les vélos ou l’extension du chauffage urbain. Loin de l’écologie punitive, le développement durable à Nîmes améliore la qualité de notre vie. »
Près de 38 stands ont été comptabilisés avec des associations comme le syndicat d’apiculture du Gard ou des partenaires plus institutionnels, mais œuvrant dans la thématique : le SITOM Sud Gard, syndicat de gestion des déchets, ou la police de l’environnement qui a pour but, notamment, de lutter contre les dépôts sauvages. Ce salon se veut « ludique et pédagogique » particulièrement pour parler aux plus jeunes avec l’organisation de deux spectacles « Chenille mon amour » par la compagnie Amarante. Parce que l’apprentissage passe aussi (et surtout ?) par le jeu…
Retrouvez l'intégralité du programme à Nîmes : https://www.nimes.fr/que-faire-a-nimes/evenements/semaine-du-developpement-durable