Publié il y a 1 an - Mise à jour le 19.12.2022  - 2 min  - vu 280 fois

GARD Le CHU de Nîmes partenaire de l'hôpital mère-enfant de Taiyuan en Chine

CHU de Nîmes

Lors de la signature de la convention entre le CHU de Nîmes et l'hôpital mère-enfant de Taiyuan en Chine. 

- (Photo : CHU de Nîmes.)

Les représentants du centre hospitalier universitaire de Nîmes et de l'hôpital mère-enfant de Taiyuan ont signé jeudi dernier une convention de coopération hospitalière internationale. 

Dans un communiqué, le service communication du CHU de Nîmes retrace la genèse de ce partenariat initié par l’ambassade de France en Chine conformément à la politique alors poursuivie (un CHU français = une province chinoise). C’est elle qui a organisé les premiers contacts à Taiyuan, en août 2017, à l’occasion d’une participation du CHU de Nîmes au forum sino-français sur la santé maternelle et infantile, programmé par l’ambassade en marge du forum international de santé de Pékin.

L’hôpital mère-enfant de la province du Shanxi a d’emblée exprimé une volonté forte de collaborer avec le CHU de Nîmes dans le champ de la santé de la mère et de l’enfant, laquelle fait partie des cinq thèmes prioritaires de coopération définis dans le mémorandum d’entente signé le 8 janvier 2018 entre les ministres de la Santé français et chinois. Les premiers jalons sont donc déjà posés, y compris en ressources humaines, comme le précise Anissa Megzari, directrice de la recherche et des partenariats hospitalo-universitaires et internationaux : « Le CHU de Nîmes accueille d’ores et déjà, depuis peu, une doctorante chinoise. »

Deux objectifs prioritaires ont été définis : la prévention, le diagnostic et le traitement des troubles et pathologies du plancher pelvien, dans le domaine de la gynécologie-obstétrique, ainsi que la maîtrise des antibiotiques, la gestion des infections nosocomiales, l’utilisation des traitements antalgiques et les soins de développement, dans le domaine de néonatalogie et de la réanimation néonatale. « De plus, la coopération sino-française s’ouvre aujourd’hui à d’autres champs, en particulier la recherche et les évolutions numériques. Aussi, nous souhaitons également initier ensemble une activité de recherche collaborative, pour développer l’innovation en santé », précise Nicolas Best, directeur général du CHU de Nîmes.

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