Publié il y a 2 ans - Mise à jour le 08.06.2021 - boris-boutet - 2 min  - vu 455 fois

AIGUES-MORTES Le collège Joliot-Curie lauréat du concours "Non au harcèlement"

la cérémonie s'est déroulée au collège d'Aigues-Mortes. (Photo Boris Boutet)

La rectrice Sophie Béjean a remis les prix. (Photo Boris Boutet)

Créé en 2013, le concours national « Non au harcèlement » a pour but de sensibiliser autour de la problématique prégnante qu’est le harcèlement scolaire.

Organisé en partenariat par le ministère de l’Éducation nationale et la MAE (Mutuelle assurance de l'éducation), il met à l’honneur, dans différentes catégories, des réalisations et des projets menés autour de réalisations visuelles et audiovisuelles par les élèves et récompense leur engagement ainsi que celui des équipes éducatives qui les accompagnent.

Parmi les lauréats récompensés ce mardi, des élèves de 4e du collège Irène Joliot-Curie d'Aigues-Mortes ont remporté le prix vidéo du cycle 4. Ils ont imaginé le scénario et rédigé 9 haïkus qui sont repris dans chaque scène. Cette production a été traduite en anglais, espagnol et allemand dans le cadre des cours de langues vivantes. Elle est sous-titrée à l’usage des personnes malentendantes.

Ce concours national s’inscrit dans la politique de lutte contre le harcèlement et le cyber harcèlement mené par l’académie de Montpellier et mise en place dans chaque établissement autour de quatre objectifs : agir pour une réactivité dans le traitement des signalements, en poursuivant la coordination de l’action académique avec les référents départementaux ; sensibiliser les élèves et accompagner les équipes pédagogiques et éducatives, en développant le dispositif « élèves ambassadeurs » dans tous les collèges et lycées et en promouvant les actions nationales et académiques comme le prix « Non au harcèlement » ; accompagner les victimes et les parents grâce à un réseau de partenaires et de «parents d’élèves ambassadeurs », et former toutes les catégories de personnels (personnels de direction, d'inspection, d'éducation, enseignants, infirmiers, assistants sociaux et médecins scolaires) à cette problématique.

Boris Boutet

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