Publié il y a 2 ans - Mise à jour le 23.12.2021 - corentin-corger - 2 min  - vu 779 fois

RÉTRO 2021 Avril : Crise politique à Laudun et 12 ans de réclusion pour avoir tué son mari

Catarina Castro a écopé de 12 ans de réclusion (Photo Objectif Gard)

Franck Proust, président de Nîmes métropole, rendant visite aux viticulteurs touchés par le gel (Photo Norman Jardin)

Que ce soit sur le plan politique, sanitaire, économique, sportif et des faits divers, l’année 2021 a été riche en événements. Avec notre rétrospective, mois par mois, revivez les faits saillants qui ont fait l'actualité de l’année écoulée du lundi au vendredi à 19h. On poursuit ce jeudi avec le mois d'avril ! 

12 ans pour avoir tué son mari. Pendant une semaine, l’affaire Badre Fakir est sous les feux des projecteurs et accapare l’espace médiatique. Ce père de famille a été retrouvé étranglé, poignardé et brûlé. La mère de famille, Catarina Castro, qui a reconnu les faits tout en dénonçant un conjoint violent et tyrannique, est condamnée lors de son procès à 12 ans de réclusion. Présents également sur le banc des accusés sous l'accusation de complicité, les deux enfants du couple sont acquittés par la cour d’assises du Gard.

Les vignes gelées. Ce mois d’avril est marqué par un gel sans précédent pour les agriculteurs gardois. En une nuit, la gelée noire s’abat sur les pieds de vigne et les arbres fruitiers avec des records de froid : jusqu’à -7°C constaté par endroit. La préfète ainsi que différents élus locaux se déplacent sur les vignobles, et la Région Occitanie met notamment en place un plan d’urgence. Après récolte, les pertes sont estimées à 15% par rapport à 2020 pour les viticulteurs gardois.

Rien ne va plus au sein de la majorité municipale (Photo DR)

Crise politique à Laudun. Après la mise en lumière en janvier du mal-être de plusieurs agents municipaux à Laudun-l’Ardoise, c’est une crise politique qui éclate en ce mois d’avril. La majorité municipale se déchire. Quatre adjoints du maire, Yves Cazorla, et quatre conseillers municipaux ont demandé à se voir retirer leur délégation. Un divorce que ces élus justifient par un manque de dialogue et de concertation du premier édile, notamment sur sa décision d’augmenter la taxe foncière. Le paroxysme est atteint quelques jours plus tard lorsque ces retraits de délégation sont entérinés en conseil municipal.

Corentin Corger

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