Le dimanche 18 octobre, la jeune gardoise Léa Bernabe représentera le département au concours de Miss International qui se déroulera à Roubaix.

Pour sa première participation au concours de Miss International, Léa Bernabe, 20 ans, a déjà réalisé une belle performance en décrochant l’écharpe de Miss International Occitanie Gard. Cette jeune bachelière qui envisage de devenir éducatrice spécialisée auprès d’enfants en difficulté, et qui prévoit de rejoindre la fac de psychologie à Nîmes à la rentrée prochaine, s’est imposée le 8 mars dernier à Montpellier devant une dizaine d’autres candidates de la région.

Le concours de Miss International, qui existe depuis une soixantaine d’années, n’exige de ses candidates aucun critère de taille ou de poids. « Ce que j’apprécie dans ce concours, confie la gardoise, c’est que toutes les qualités d’une personne sont mises en avant ». En revanche, les participantes doivent relever plusieurs défis comme celui de trouver des sponsors (Léa en a déjà trois à Alès : le Duplex, Margaux Mariage et les Trésors de Bouddha), de réaliser une vidéo pour se présenter ainsi que sa région d’origine, d’organiser un live sur Facebook (il aura lieu ce lundi 20 juillet à 19h sur ce lien) ou encore de décrocher un article dans un journal. Un défi de moins pour Léa !

La vidéo qu’elle présentera au jury, le 18 octobre prochain à Roubaix, devrait permettre à la jeune femme de montrer tous ses talents. C’est Léa, par exemple, qui accompagne au piano les images de paysages gardois qu’elle souhaite faire découvrir aux membres du jury : « J’ai choisi de présenter des coins comme Collias, mais aussi la Camargue et les Cévennes », explique-t-elle. En plus de la vidéo, Léa réalisera plusieurs passages : un en maillot de bain « celui qui me fait le plus peur », avoue-t-elle ; un autre en robe cocktail puis en robe de soirée et un dernier en tenue de ville. Une prestation réussie pourrait lui ouvrir de nouveaux horizons… Si Léa finit dans les trois premières, elle s’envolera vers le Japon pour la grande finale mondiale. C’est tout le mal qu’on lui souhaite.

Tony Duret