L’ŒIL DANS L’OBJECTIF L'actualité de la semaine en image
Chaque samedi, à midi, Objectif Gard vous propose de jeter un œil dans le rétro et de revenir en images sur l'actualité de la semaine écoulée.
FAIT DU JOUR En images : le Gard mobilisé pour le Téléthon. Uchaud était la ville phare du Téléthon dans le Gard, mais la mobilisation était large ce samedi pour collecter des fonds destinés à la recherche sur les maladies génétiques rares. Tour d'horizon à Nîmes, Beaucaire ou encore Uzès.
GARD/ARLES Grève de la fonction publique : revivez la journée de mobilisation. Environ 2 000 personnes se sont rassemblées cet après-midi à Nîmes d'après les syndicats, 850 selon la police. Ce jeudi 5 décembre, partout en France, les syndicats appellent les agents de la fonction publique à une journée d'action et de grève pour s'opposer aux mesures d'économies à hauteur de 1,2 milliard sur le projet du budget 2025. Prévue de longue date, cette mobilisation est maintenue malgré le renversement du gouvernement Barnier, hier soir. Suivez les différentes manifestations dans le Gard et Arles.
NÎMES EN VIDÉO La magie des projections monumentales. Depuis ce jeudi et jusqu’à dimanche, les projections de Noël sont à voir sur les façades de la Maison Carrée, la Tour de l’Horloge, le musée du vieux Nîmes et l’Horloge du lycée Daudet. La série de quatre jours de projections de Noël, a commencé ce jeudi devant quelques centaines de spectateurs. Jusqu’à dimanche, de 18h à 21h, quatre monuments Nîmois sont mis en lumière à l’aide de vidéo mapping. Sur la façade Nord de la Maison Carrée, les Nîmois peuvent admirer une projection célébrant les Saturnales, les fêtes de fin d'année de la Rome antique. Pour la première fois, l’horloge du lycée Alphonse-Daudet est illuminée.
NÎMES Les jeunes en attente de réponses. Le lycée Philippe Lamour a connu un petit blocus. Même si le Gouvernement Barnier a sauté et que le vote de son budget n’aura pas lieu, les élèves de l’établissement nîmois organisaient un blocus afin de dénoncer les conditions d’éducation, le manque de moyens, les classes surchargées, les locaux inadaptés, ainsi que les difficultés de vie des lycéens. Problèmes de transport et précarité étudiante naissante, aussi. « Nous voulons des moyens pour l'éducation. Arrêtons les suppressions de postes et investissons dans des professeurs supplémentaires, des assistants pédagogiques, et des équipements modernes pour améliorer les conditions d'apprentissage » explique Mathis, un responsable de la manif.