Publié il y a 18 h - Mise à jour le 11.05.2025 - Norman Jardin - 1 min  - vu 178 fois

NÎMES Le jumping international s’épanouit et il voit double

Le concours s’est terminé ce dimanche.

- Photo : Norman Jardin.

Ce dimanche avait lieu, route de Sauve, la dernière journée de la quatrième édition du concours de saut d’obstacles international. Pour la première fois, la compétition était étalée sur deux semaines et ses organisateurs projettent de la mettre en place deux fois en 2026.

La compétition a commencé le 30 avril et elle a regroupé 600 cavaliers internationaux et 450 chevaux au centre équestre Nîmes Centaure. Pour cette quatrième édition, qui s'est terminée ce dimanche, les organisateurs avaient décidé d’innover en passant d’une à deux semaines de compétition. Le rendez-vous nîmois s’est fait une place dans le calendrier national, comme l’explique Nathalie Favede, la propriétaire du centre équestre Centaure : « C’est un jumping de niveau deux étoiles et on affiche complet. C’est la manifestation phare pour la région. Nous sommes nationalement et internationalement reconnus. À Nîmes, on accueille 12 nationalités différentes ».

Parmi les cavaliers accueillis durant la quinzaine, il y avait Olivier Perreau, le Français médaillé de bronze au saut d’obstacles par équipes lors des Jeux olympiques de Paris en 2024. Des épreuves deux étoiles et une étoile, Young Horse (jeunes cavaliers et cheveux) et Amateur Gold Tour (meilleurs cavaliers amateurs) ont rythmé les 10 jours de compétitions, avec, et c’est inédit, des épreuves poneys au programme de la deuxième semaine. « Le bilan est très positif et le bilan financier s’équilibre. Le plus important est que les gens sont contents et qu’ils nous demandent de revenir l’année prochaine » souligne Nathalie Favede qui organise la compétition avec son mari Alain.

Nathalie et Alain Favede, les heureux organisateurs du concours. • Photo : Norman Jardin.

Ces derniers revendiquent 10 000 spectateurs sur l’ensemble de la compétition et ils projettent, pour l’année 2026, de mettre en place la même compétition, mais avec deux éditions, au printemps et en automne.

Norman Jardin

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