Publié il y a 5 ans - Mise à jour le 10.06.2018 - anthony-maurin - 2 min  - vu 478 fois

NÎMES Le développement durable, une option impérative ?

Fin de la quinzaine sur l'Esplanade avec une journée dédiée aux rencontres et à la découverte des nouveautés.
(Photo Anthony Maurin).

(Photo Anthony Maurin).

À l’occasion des Semaines européennes du développement durable, l'Université de Nîmes et la Ville de Nîmes proposaient une programmation riche et éclectique autour de thèmes aussi variés que la biodiversité, les alternatives aux pesticides, la consommation durable, l’énergie, l’habitat, le recyclage, l’économie sociale et solidaire…

Point d'orgue de cette quinzaine, la clôture de l'événement par une journée spéciale sur l'Esplanade avec de nombreuses animations. Deux expositions permettaient notamment aux visiteurs de connaître et de se renseigner sur les actions mises en œuvre par la ville et l'université de Nîmes pour économiser l’énergie, protéger la biodiversité, construire une ville durable, embellir notre cadre de vie…

(Photo Anthony Maurin).

L'écologie et la manière dont l'Homme vit doivent être conciliées. Avec cette grande journée ouverte à tous, les Nîmois ont pu se rendre compte des alternatives confortables proposées pouvant sereinement allier nature préservée et vie pérenne assurée.

Les élus de la ville de Nîmes en compagnie du maire, Jean-Paul Fournier ,et d'Emmanuel Roux, le président de l'université de Nîmes (Photo Anthony Maurin).

L'ensemble des partenaires a présenté, à travers ces stands et expositions, les actions mises en œuvre en faveur du développement durable dans la cité des Antonin.

(Photo Anthony Maurin).

Pour cela, une trentaine de stands était installée sur l’Esplanade et traitait des thématiques présentées tout au long de la quinzaine. Exemples : biodiversité et alternatives aux pesticides, alimentation, énergie, habitat, recyclage et récupération ou encore économie locale.

(Photo Anthony Maurin).

Le public pouvait également se tester en usant des principes proposés par des ateliers, des démonstrations mais aussi des animations, des spectacles déambulatoires, de la musique et bien entendu de la bonne humeur. Une fresque participative était réalisée en collaboration avec Le Spot, des sorties botaniques aux alentours du stand l'étaient par le muséum de Nîmes et la Société d’étude des sciences naturelles de Nîmes et du Gard.

Côté déambulation écologique, c'est la compagnie Sauterelle qui se mettait en scène avec " Vive la biodiversité ". Dans la même veine, le spectacle musical Chansongs de Cisco Gayte and Co. se tenait dans l'après-midi, tout comme le théâtre d’improvisation de la compagnie « Les criquets ».

(Photo Anthony Maurin).

Côté stands, plusieurs possibilités. La biodiversité et alternatives pesticides avec le museum d'Histoire naturelle, l'association Côté jardin solidaire, l'association Globule vert, le Syndicat mixte des nappes Vistrenque et Costières et le SMAGE des Gardons.

Pour l'habitat et l'énergie, ÉNERCOOP Languedoc Roussillon, l'École nationale du chanvre, CITRE, Les Survoltés, HAB-FAB SCIC SA, CITEN et le CAUE du Gard. Pour l'alimentation, le CIVAM Racines Gard Lozère, les Générations cobayes et France nature environnement.

Pour le recyclage et la récupération, Lulu ZED, le Sitom Sud Gard, l'Éco-Vélo Nîmes et la DCTDM Nîmes métropole. Enfin, pour l'économie locale et solidaire, les vrais monnayeurs de Nîmes et alentours étaient présents accompagnés du Collectif Nîmes en transition, de la NEF et d'I Boycott.

(Photo Anthony Maurin).

Anthony Maurin

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