De nouvelles sculptures monumentales signées Salem sont de retour dans les rues. L'artiste est un Graulen de coeur, tant ses oeuvres y ont rythmé les étés.

On peut déjà admirer l'Espérance, mère et fille de bronze, au bout de la jetée, telles des vigies.

Égyptien d'origine, il a étudié les Beaux-Arts à Alexandrie, puis a posé ses bagages d'abord près de Paris où il a enseigné les arts plastiques plusieurs années. Ensuite, il a ouvert galerie et atelier dans le Gard et  possède sa propre fonderie.

Cette année, le rouge est mis sur le parvis de la mairie avec trois oeuvres : Yeah , Les Deux Mondes et Coco. Quant au toro monochrome qui avait beaucoup plu au public l'an dernier à la Capitainerie de Port Camargue, il veille face à la Villa Parry.

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