Publié il y a 3 h - Mise à jour le 07.09.2025 - La rédaction - 12 min  - vu 940 fois

ÇA RESTE ENTRE NOUS Les indiscrétions de la semaine

Nous sommes le dimanche 7 septembre 2025. Il est 12 heures. C'est le retour des indiscrétions politiques et économiques pour une nouvelle saison palpitante.

Real politique. Le monde politique est impitoyable. Les exemples sont nombreux. Les élus mangent souvent leur chapeau. Avalent aussi des boas. Nîmes devrait connaître un épisode du même ordre dans les prochaines semaines. Car personne n’a véritablement intérêt à perdre les élections municipales de mars 2026. Certainement pas Vincent Bouget, le leader communiste de la gauche. Une défaite remettrait forcément en cause sa légitimité future. Et d’autres prétendants voudront en première ligne se mêler à la bataille dans six ou sept ans. Pour s’éviter un danger, le vice-président au Département finira assurément par embarquer les Insoumis avec lui. Dès le premier ou alors au second tour. Du côté du Rassemblement national, c’est un peu la même sauce. Le député de la 1ʳᵉ circonscription Yoann Gillet est forcément le candidat idoine de l’extrême-droite. Mais il fait la fine bouche, ne voulant pas perdre ses innombrables avantages parisiens. Il est vrai que personne n’existe à Nîmes à part lui. Ou peut-être Sylvie Josserand, fraichement élue députée il y a un an. Toutefois, elle est encore bien trop méconnue dans le paysage local. À cet instant. Mais demain ? Pour le moment, le RN semble préférer assurer ses arrières à Paris plutôt qu’à Nîmes. Pour le plus grand bonheur de la droite sortante… En parlant d’eux. Et du Centre. La bataille féroce que se livre en coulisse, Julien Plantier et Franck Proust, d’un côté et Valérie Rouverand et Yvan Lachaud de l’autre, donne à voir pour l’avenir. Si d’aventure la défaite est au bout, il sera bien difficile à ces quatre-là de venir encore jouer le coup d’après. Sauf probablement Julien Plantier et Valérie Rouverand ? À condition que d’autres personnalités n’émergent pas… C’est pourquoi tout ce beau monde tente malgré tout de trouver un chemin de réconciliation. Encore davantage face au contexte politique national extrêmement dégradé. D’ailleurs, il s’agit là du pire scénario pour eux. Emmanuel Macron appui sur le bouton de la dissolution. Et adieu les perspectives de victoire dans six mois. À coup sûr, les extrêmes sortiront renforcés. Et les électeurs n’auraient aucune raison de bouger le curseur à intervalle de quelques semaines. Concrètement donc, Julien Plantier a dîné quelques fois durant l’été avec Yvan Lachaud. Valérie Rouverand et Julien Plantier se parlent à distance. Franck Proust veut tenter le coup seul, mais ne dirait pas non à un ralliement de l’ancien premier adjoint. Contre l’avis du maire et d’une partie de sa garde rapprochée. Il lui a déjà préparé un bout de son canapé, après la Feria des Vendanges, pour négocier. Négocier quoi ? Le nombre de places sur la future liste, la présidence des instances locales dirigées par les collectivités. Et l’engagement d’un seul mandat. Même si on lui souffle aux oreilles qu’il devrait se méfier, Julien Plantier reste intéressé. Il a son local de campagne déjà ciblé à la Place Séverine. Pour autant, il va attendre sagement le 1ᵉʳ octobre avant d’investir les lieux. Qui sait ? Peut-être qu’il franchira les portes avec Franck Proust ? Sinon avec Yvan Lachaud et Valérie Rouverand.

Maréchal la voilà ? C’est la rumeur persistante en cette fin d’été. La nièce de Marine Le Pen ferait son arrivée à Nîmes. Alors que la politique a horreur du vide, face au silence assourdissant du Rassemblement national, l’extrême-droite fourmille d’impatience. Marion Maréchal, qui bénéficie des anciens soutiens d’Éric Zemmour, lorgnerait sur les municipales à Nîmes. Pour terminer de s’en convaincre, la présidente du parti « Identité Libertés » aurait même acheté un mas à Nîmes. Difficile de démêler le vrai du faux. Même si, dans une ancienne vie, la députée européenne a été parlementaire dans le département voisin. Et n’a jamais caché son amitié avec Yoann Gillet et son collègue à Bruxelles et Strasbourg, Julien Sanchez… Renseignement pris auprès de l’un de ses proches à Paris, il réfute à ce stade toute volonté nîmoise. Affaire à suivre !

Lancement imminent. L’état-major de Franck Proust est fin prêt pour le combat. Tout l’été, les équipes ont travaillé autour du premier adjoint et président de Nîmes métropole pour organiser la campagne des municipales. Qui sera rythmé par des annonces de réalisation, un programme dévoilé pour l’après 2026 et des dispositifs de communication pour être au plus près des Nîmois. C’est à la mi-octobre que sera lancé le site Internet du candidat avec une lettre aux Nîmois. Une grande annonce autour de Magna Porta est prévu aussi à la fin du mois. Sans compter les personnalités d’horizons différents qui seront dévoilées au fur et à mesure. « Nous sommes les sortants mais nous n’allons pas rester les bras croisés jusqu’au début de l’année 2026. L’idée est de prendre rapidement la tête de ces municipales et de garder cette dynamique jusqu’à la victoire » explique un proche de Jean-Paul Fournier.

Municipales : le fric, c’est chic ! Depuis le 1er septembre, la précampane des municipales a officiellement démarré. Traduction : les comptes de campagne sont ouverts. Toute action faisant la promotion d’un candidat entrera de facto dans les comptes de campagne dont les dépenses sont plafonnés à 200 000€ pour un peu plus de 90 000 électeurs. À Droite, le poste de mandataire de Franck Proust sera occupée par l’ancienne élue, Marie-Reine Delbos. Une fonction certes bénévole, mais non moins stratégique, cette dernière devrait passer à la loupe les recettes et dépenses. Il faut dire que l’ex-mandataire, Anne Calvini, par ailleurs épouse du DGS remercié, Christophe Madalle, a dû passer son tour…

Edeis, mi-figue, mi-raisin. L’opérateur des monuments romains et de l’aéroport nîmois est surveillé comme le lait sur le feu par Franck Proust. Alors que le spectacle dans les arènes au mois d’août a été un vrai succès, une saison 2 du Rêve du gladiateur est déjà dans les tuyaux. Avec la même équipe technique et artistique. Notamment le danseur et chorégraphe Arthur Cadre, salué pour son travail à Nîmes après la cérémonie de clôture des Jeux Olympiques de Paris 2024. En ce qui concerne la Maison Saurel, Edeis a revu sa copie. Plus question de restaurant à l’intérieur, trop cher. Un projet plus minimaliste sera présenté à la Ville dans quelques jours. L’accent sera mis sur le volet culturel uniquement. « Avec de la réalité virtuelle, sur le thème de l’eau » explique une source proche du dossier. Ouverture prévue au début de l’année 2027. Mais c’est probablement l’avenir de la compagnie aérienne Ryanair à Nîmes qui inquiète davantage le candidat Proust. « Toute l’équipe irlandaise et française a changé, nous n’avons plus les interlocuteurs habituels. Et le désengagement en France et en Espagne de Ryanair n’est pas de bon augure pour Nîmes » explique-t-on dans les couloirs du Colisée. Les destinations vers Porto, Dublin et Londres seront arrêtées cet hiver avec une reprise espérée au printemps prochain. « C’est l’atout maitre de Proust, il ne peut pas se présenter devant les Nîmois avec un développement de l’aéroport à l’arrêt. Voir une copie plus vide qu’à son arrivée en 2020. Il va donc se rendre en Irlande dans les prochaines semaines pour négocier directement avec Ryanair… » Il a des arguments pour convaincre. Encore cette année 2025, la fréquentation est en hausse de 5% avec un objectif de 260 000 passagers qui sera atteint. « Soit il sauve les meubles, soit c’est la catastrophe. Et Edeis pourrait payer après mars 2026, les pots cassés… »

Mauvaise nouvelle. H2 ne sera pas inauguré en octobre comme prévu initialement. Le 30 juillet dernier, un incendie s’était déclaré dans le Palais des Congrès en construction. L'isolation en laine de verre avait brûlé sur toute la surface du plafond du bâtiment. Il faudra plusieurs semaines supplémentaires pour rattraper le retard. Dans les couloirs de la mairie de Nîmes, on parle désormais de la fin du mois de novembre ou début décembre…

Gros chèque ? Christophe Madalle n’est plus le directeur général des services de la Ville de Nîmes. Par un communiqué, le maire a pris acte de son départ en rappelant que la confiance avait été rompue. Vingt-quatre ans après son arrivée aux côtés de Jean-Paul Fournier, cette déclaration a surpris. Probablement parce que le premier édile a en travers de la gorge le chèque qu’il a dû signer pour s’en séparer. « Toutes les indemnités de départ représentent une sacrée somme qui fait grincer dans les services, d’autant que M. Madalle refusait à chaque fois des rallonges de quelques centaines d’euros pour des associations », explique une source municipale. Faites ce que je dis, pas ce que je fais…

Plus Blanc que Wozniak. Après le départ de Christophe Madalle, son remplaçant n’a pas tardé à se faire connaître. Pour le moment en intérim, mais il a vocation à être pérennisé en cas de victoire de Franck Proust en mars prochain. Et c’est d’ailleurs le premier adjoint qui a pris cette décision. Ce sera Nicholas Blanc, actuellement DGA Population et RH. Administrateur territorial, il avait été nommé, en 2022, conseiller de magistrats à la Cour des comptes. Au départ, l’actuel directeur général des services techniques tenait la corde. Mais Jean-Yves Wozniak a un gros défaut : il est ami intime avec Christophe Madalle… « Franck Proust veut pouvoir compter sur toutes les troupes pour la bataille à venir. Hors de question d’avoir dans les pattes quelqu’un qui va alimenter la machine à Plantier en cas d’absence d’accord », raconte un adjoint à la Ville.

Les mariés oubliés. Durant l’été, l’ancien adjoint au tourisme, Xavier Douais s’est marié. Félicitation ! On se permet de lui souhaiter publiquement, car le maire Jean-Paul Fournier ne l’a pas fait. Alors que c’est de coutume pour tous les mariés nîmois. « C’est franchement dégueulasse que le maire n’ait même pas eu une attention pour son ancien élu. Lui qui était ami avec le père Henry Douais. Ce n’est pas parce qu’il est parti avec Julien Plantier que le moindre usage doit être oublié… » explique un élu de Nîmes Avenir. Une absence de ce courrier qui ravive les tensions observées à quelques jours du mariage. « L’ascenseur est tombé en panne, impossible pour les invités de Xavier Douais de l’utiliser. Le mariage a dû se dérouler au rez-de-chaussée… » Qu’il se rassure Xavier Douais, le maire aurait pu refuser aussi que sa collègue Dolorès Orlay-Moureau puisse le marier. En effet, c’est au bon vouloir de Fournier depuis des années d’autoriser ou pas les élus de l’opposition à présider des cérémonies civiles. C’est non pour Yvan Lachaud ou encore Valérie Rouverand alors que c’est oui pour Vincent Bouget…

Calligaro agace Proust. Dans le courant de la semaine, le Rugby Club Nîmois a organisé sa soirée de rentrée pour lancer la nouvelle saison. Beaucoup de monde au rendez-vous. Et de nombreux acteurs politiques. En ces temps d’élections, aucun prétendant à la mairie ne prendrait le risque de rater ce rendez-vous… Une présence qui n’a pas échappé au président du RCN, Steeve Calligaro. Sur scène, il n’a pas hésité à chambrer l’assistance. « Ce soir, nous avons le futur maire de Nîmes avec nous… » Les équipes de Franck Proust ont toussé. Elles se sont carrément étouffées quand elles ont entendu le patron du Medef faire la leçon sur le manque d’investissement de la municipalité et les infrastructures absentes pour offrir un meilleur rayonnement au club. « Il est gonflé : le RCN est en 4e division et le montant de subvention versée est déjà conséquent », explique un membre de la mairie. « Steeve Calligaro est dans son rôle. Les élections municipales sont l’occasion de rappeler à tous les candidats l’impérieuse nécessité d’investir pour l’avenir des clubs sportifs », répond un membre du RCN.

Viva Espana ! Ne cherchez pas le candidat Proust, ni le maire la semaine prochaine. Ils ne seront pas là. On vous rassure, ils ne sont pas déjà repartis en vacances. Non, ils partent en Espagne lundi soir jusqu'à vendredi, pour la traditionnelle reconnaissance des toros en prévision de la feria des Vendanges qui arrivera dans quelques jours. Cette fois encore, les comptes sont bien séparés. Pas question que Simon Casas & Co participe au financement du voyage de la délégation municipale, comme c’était le cas les années précédentes… « Vu le contexte judiciaire avant l’été, l’audition de Simon Casas par les flics pour des sombres histoires financières, tout le monde marche sur des œufs… », explique un membre de la Ville. Il serait en effet dommage que la fête soit gâchée…

Rachid n’hésite plus. Parti à Lunel pour diriger le cabinet de la maire de Lunel durant l’été, Rachid Benmahrouz a logiquement pris ses distances avec son ancien patron, Julien Plantier. Alors que ce dernier espérait qu’il pourrait toutefois revenir au bercail pour la campagne des municipales, il n’en est rien. Au contraire, selon nos informations, Rachid Benmahrouz aurait fait savoir dans l’entourage du président du groupe Nîmes avenir qu’il n’en serait pas. Mieux, il a rendez-vous dans quelques semaines avec Franck Proust. Probablement pour discuter de sa place sur la future liste du candidat choisi par Jean-Paul Fournier, le maire sortant. « Rachid reste discret pour le moment, il a déjà fort à faire à Lunel pour organiser le cabinet politique à six des élections. Mais son expérience nouvelle pourrait lui ouvrir aussi d’autres perspectives… » Sauf que le Nîmois rêve que d’une seule chose : devenir élu pour ensuite, lancer sa carrière politique !

Roulle sur le départ ? Ce week-end, son message sur les réseaux sociaux se félicitant pour la rentrée politique de Julien Plantier est bien éloigné de la réalité interne au groupe Nîmes avenir. L’ancienne adjointe à la Culture de Jean-Paul Fournier, très proche de Julien Plantier, est catégorique : hors de question de se rabibocher avec Franck Proust. Qu’elle se rassure, du côté du Colisée, on ne veut pas d’elle… Même la gauche semble au courant et ne cracherait pas sur une belle prise de guerre en cas d’accord Plantier-Proust. « Au moins, elle sera en phase avec ses convictions », commente un acteur de la vie politique locale qui rajoute : « Cela n’empêchera pas de lui ressortir les belles photos au cœur de la fédération des Républicains où elle a bien profité du parti… »  L’ambiance est bonne en cette rentrée…

Pas de rentrée économique. C’est la première fois depuis de nombreuses années que les entreprises gardoises n’auront pas de rentrée économique de la CCI Gard. Habituellement, à la fin du mois de septembre, la chambre consulaire fait le point sur la situation du commerce et des entreprises. Ce ne sera pas le cas. Une surprise d’autant que la gravité du contexte financier et économique inquiète de nombreux patrons. Les défaillances d’entreprises connaissent des chiffres records. Oui, mais Éric Giraudier, le président élu, est suspendu par le préfet de région. Il ne reprendra ses fonctions que le 1ᵉʳ novembre. Une rentrée économique juste avant Noël, c’est quand même bizarre ? Alors, il faudra attendre septembre 2026. Eh ben non : il sera l’heure des élections consulaires pour trouver un nouveau président à la CCI Gard…

Y retourner ou pas ? Ce samedi, en fin de matinée, le socialiste Basile Imbert et le communiste Paul Planque ont été aperçus en train de prendre un verre ensemble en terrasse du Gambrinus à Alès. Les leaders de Maison Commune et du Printemps Alésien ont certainement évoqué l’union des deux listes en vue des municipales. Tout l’enjeu est désormais de savoir qui prendra la tête de liste de la gauche pour affronter le poids lourd Rivenq ? Paul Planque n’a jamais caché son ambition d’y retourner, mais Basile Imbert est coriace et ne lâchera pas le morceau si facilement. D’autant que Paul Planque n’avait pas forcément brillé aux municipales de 2020 avec 22 % des suffrages au premier tour sur des terres cévenoles qui ont pourtant tendance à réussir aux communistes (Cendras, La Grand’Combe, Saint-Martin-de-Valgalgues…). Mais surtout, depuis 2020, Paul Planque ne s’est guère illustré. À gauche, certains pensent qu’il serait temps qu’il passe la main. Il lui reste encore quelques jours, quelques semaines, pour mûrir sa réflexion. Mais c’est vrai, elle n’est pas simple pour l’ego.

Allegret-Pilot ciblé. Au Parti socialiste, la crise politique nationale est prise très au sérieux. D’abord, elle pourrait permettre un retour aux affaires des socialistes. Et leur installation à Matignon dans les prochains jours après le départ annoncé du Premier ministre, François Bayrou. Plus localement, on table davantage sur une dissolution actionnée par le président de la République. Ainsi, des législatives anticipées pourraient rebattre les cartes dans le Gard. Avec une Carole Delga qui ne se résout pas à la présence de six députés d’extrême-droite dans le département depuis 2024. Ainsi, la priorité concerne la 5e circonscription détenue par le député UDR sulfureux Alexandre Allegret-Pilot. Le PS aurait déjà positionné Régis Bayle, le président du Pays Viganais, très proche de la présidente de la Région Occitanie. « Malgré la petite musique du PCF sur ce territoire, les socialistes ne lâcheront pas. D’autant qu’à Nîmes, ils jouent parfaitement le jeu avec Vincent Bouget » explique un élu socialiste.

Le rapprochement. Michel Cegielski, mis au ban de la majorité municipale en juin dernier après avoir voté contre des délibérations budgétaires et exprimé ses divergences avec le maire Jean-Yves Chapelet sur la gestion budgétaire de la ville, se rapprocherait-il de la droite, voire de l’extrême droite ? On l’a ainsi aperçu cette semaine dans les rues de Bagnols avec Olivier Wiry, opposant élu en 2020 sous l'étiquette Debout la France sur la liste conduite par le Rassemblement national. En désaccord avec le RN, il finira par claquer la porte du groupe d’opposition en 2021, tout en restant élu. Sur les réseaux sociaux, les likes et interactions entre les deux élus semblent accréditer ce rapprochement, alors que Michel Cegielski, issu des Radicaux de gauche, candidat sur la liste Renaissance aux Européennes de 2019, n’a pas encore clarifié ses intentions pour les municipales à venir. Il lui faudra aussi sans doute clarifier son positionnement politique, alors que le RN se cherche encore et toujours une tête de liste…

Départ. Zacharie Charmin : des déchets à la direction des services de Remoulins. Chef de service à la direction des déchets, en charge de la collecte, Zacharie Charmin voit sa carrière décoller : il vient d’être nommé directeur général des services de la commune de Remoulins. Un saut, au-dessus du Gardon, pour ce jeune cadre de Nîmes Métropole, qui change d’intercommunalité pour celle du Pont du Gard.

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