Publié il y a 8 ans - Mise à jour le 02.09.2015 - tony-duret - 1 min  - vu 193 fois

NÎMES Pour sa rentrée, l'UPE 30 invite Bernard Keimer, premier président de la cour d'appel

Bernard Keimer, premier président de la cour d'appel de Nîmes. Photo Tony Duret / Objectif Gard

Hier soir, les membres de l'UPE 30 se sont réunis au restaurant Gard ô Vin, place du marché à Nîmes. Autour d'un apéritif, Bernard Keime, premier président de la cour d'appel de Nîmes, a présenté son parcours.

Avant de laisser son invité du jour se présenter, et devant une cinquantaine de chefs d'entreprise, le président de l'UPE 30, Eric Giraudier, a donné son opinion sur la loi NOTRe :"On a besoin d'avoir une vision sur l'environnement dans lequel on peut avancer. Depuis 2012, les prélèvements sur les entreprises ont augmenté de 123 milliards. Quand on entend parler de cadeaux aux entreprises..."

Bernard Keimer, premier président de la cour d'appel, est quant à lui revenu son parcours qu'il juge, modestement, "classique"."J'ai commencé comme avocat pendant huit ans. J'ai intégré l'école de la magistrature et j'ai été juge d'instruction dans l'Yonne, puis à Paris. J'ai été conseiller à la cour d'appel de Paris, puis Besançon, Metz et Nîmes où je suis aujourd'hui premier président de la cour d'appel".

Une cour d'appel, la seule de France, qui se situe sur trois régions administratives. Une "belle cour d'appel", selon les mots de son président. "On n'a pas à rougir de notre cour d'appel, poursuit-il. En terme d'activité, on est la onzième de France (sur 33)". Une cour d'appel qui compte 150 magistrats et 500 fonctionnaires. Une cour d'appel, enfin, qui a suscité la curiosité des invités. Curiosité satisfaite quelques instants plus tard autour d'un verre et dans une bonne ambiance.

Tony Duret

Economie

Voir Plus

A la une

Voir Plus

En direct

Voir Plus

Studio