VIDEO : Gilbert Collard sur France Info : "Je ne me sens pas d'extrême droite"
Invité hier matin sur France Info, le nouveau député frontiste du Gard, Gilbert Collard, est largement revenu sur l'affaire Merah, son appartenance à l'extrême droite, et la Grande conférence sociale.
"Je reste apparenté à Marine, mais je suis chaque fois un peu embarrassé quand je me retrouve classé à l'extrême droite, car je ne me sens pas d'extrême droite".
Fidèle à sa réputation, Gilbert Collard s'est fait volontiers provoquant, qualifiant le Premier ministre de "Premier sinistre", la Conférence sociale de "blablalogie", et dénonçant les effets d'annonce du gouvernement.
Sur l'affaire Merah, Gilbert Collard rappelle qu'il a été l'avocat de Caroline, la veuve d'Abel Chenouf ; qu'il ne l'est plus, eu égard à sa fonction de député qui lui interdit de plaider dans les affaires de terrorisme. S'il reconnait "un droit d'investigation sans limites pour les journalistes", il dit ne pas supporter "la marchandisation". "Les journalistes n'ont pas à faire les putes d'audience", martèle-t-il. Car, dit-il, "derrière cette marchandisation de l'horreur il y a des gens qui souffrent".
www.objectifgard.com vous propose de revoir cette intervention en vidéo :
D'autres parts, par voie de communiqué, Gilbert Collard sollicite le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, afin de dénoncer, à sa façon, les troubles au Grau du Roi occasionnés selon lui, par la mise en place du TER à 1 Euro :
"Ces troubles répétés sont occasionnés par des éléments incontrôlés, livrés à eux mêmes, bénéficiant d’un billet Nîmes – Le Grau du Roi à un euro, billet très largement subventionné par le Conseil régional du Languedoc-Roussillon. Cette année, ces navettes circulent depuis le 2 juin et certains de leurs passagers multiplient les incivilités, au point que la police ferroviaire doit être constamment présente. A l’arrivée du train, la présence de plusieurs gendarmes est nécessaire, ce qui les rend indisponibles pour les autres missions qui leur sont imparties. La population, et en premier les commerçants, se plaignent de subir grossièretés, vols, violences et, d’une manière générale, une ambiance d’agressivité. Les plaintes sont rares, par crainte des représailles. Ces désordres débutent chaque jour vers 14 heures; et ils culminent chaque samedi après midi. Les riverains, ainsi que les commerçants ont multiplié les pétitions. Certains commerçants, qui sont souvent amenés à baisser leur rideau, subissent une perte de chiffre d’affaires très significative. Par ailleurs, ces désordres ternissent l’image de ce grand port de plaisance, celle des communes environnantes et, plus généralement, de notre attractivité touristique."
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