Publié il y a 7 ans - Mise à jour le 08.01.2017 - tony-duret - 2 min  - vu 364 fois

GAJAN Les premiers pas Gardois du mouvement « En Marche »

Réunion publique à Gajan du mouvement En Marche. Photo Tony Duret / Objectif Gard

Samedi matin, le centre communal de La Davalade à Gajan accueillait la première réunion publique Gardoise du mouvement d’Emmanuel Macron, « En Marche ».

Lancé en avril 2016, le mouvement « En Marche » va à un sacré rythme puisqu’il compte déjà plus de 133 600 adhérents en France dont 1 084 dans le Gard. Samedi matin, ils étaient beaucoup moins nombreux, une trentaine, au centre communal de Gajan à l’invitation du référent départemental Jérôme Talon, accompagné pour l’occasion des animateurs Xavier Bosc, Laurent Mespoulet et Simon Rossini-Bourgade.

Après la projection d’une courte vidéo, un spot positif, qui démontre les bienfaits de la marche de Macron, les curieux présents dans la salle ont pris la parole. Un professeur, soucieux de protéger la planète, s’étonne qu’Emmanuel Macron, « un jeune comme lui ne comprenne pas qu’il faut d’abord sauver la planète avant les combats sur le RSI ou les charges ».  Le débat est lancé. Un autre homme dans le public répond qu’il faut d’abord gagner sur le terrain économique, peser dans la balance et ainsi avoir une parole plus forte dans tous les domaines dont celui de l’environnement.

Un troisième homme lève la main. Lui veut « des réponses claires sur le pouvoir des citoyens face à la finance ». Les échanges, intelligents, constructifs, sont passionnés. Toutes les bonnes idées et remarques intéressantes sont enregistrées par l’équipe locale du mouvement. Jérôme Talon explique : « Tout ce que nous faisons sur le terrain remonte à Paris. Et pas l’inverse. Nos remarques enrichissent les réflexions de l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron qui est entouré de neuf conseillers nationaux ».  Justement, le professeur revient à la charge et propose son idée : « Il devrait y avoir un service civique pour les jeunes médecins. En début de carrière, il faudrait les envoyer dans les zones rurales, comme les professeurs ou policiers envoyés dans les endroits où il manque de la place ». L’équipe Gardoise de l’ancien ministre de l’Economie a pris note. L'idée devrait remonter vers Paris. Macron, lui, devrait descendre dans le Gard aux alentours du premier tour.

Tony Duret

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