Ce jeudi matin, à 10h30, une grosse centaine de manifestants s'est réunie devant les grilles de la sous-préfecture d'Alès. Si le mouvement s'est quelque peu affaibli dans la capitale cévenole, la colère, elle, est intacte. Dans le collimateur, Emmanuel Macron, surnommé par les manifestants alésiens à la métaphore riche, "le roi Macron" ou "Jupiter". L'un des porte-paroles de la grogne, le représentant de la FSU (fédération syndicale unitaire) Alain Perrod a notamment insisté sur les chômeurs et cette jeune génération qu'il "précarise à travers la loi travail et la baisse des APL".
Publié il y a 7 ans -
Mise à jour le 19.10.2017 - tony-duret - 1 min
L'IMAGE DU JOUR Alès : des manifestants moins nombreux mais toujours là

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Tony Duret